ZEMMOUR, L’ÉCONOMIE RÉELLE, PAS LA BUREAUCRATIE
LA FRANCE QUI PRODUIT EXISTE ENCORE. IL FAUT JUSTE L’ÉCOUTER.
Petits patrons, artisans, TPE et PME : Zemmour leur parle, mais surtout, il les comprend. Ici, pas de langage techno, pas de start-ups hors-sol. Opinion Day® analyse en profondeur ce que propose réellement Zemmour pour ceux qui font tourner la France. Blocage fiscal, charges, normes, bureaucratie, relocalisation : tout est dans le programme. Et tout est dans cet article.
LE DÉCOR : L’ALSACE, LES MAINS QUI TRAVAILLENT, LE PAYS RÉEL
Il est assis, chemise blanche, cravate droite, les mains croisées sur une table. Pas d’effets spéciaux, pas de scénographie présidentielle. Juste une réunion. Éric Zemmour est à Sélestat, au cœur de l’Alsace. Autour de lui, ce qu’il reste de la colonne vertébrale du pays : artisans, patrons de PME, chauffagistes, boulangers, producteurs, fabricants. Pas les habitués des plateaux TV ni des meetings parisiens. Ceux qui ne demandent pas grand-chose à l’État sauf qu’il les laisse vivre. Et c’est précisément ce qu’ils lui disent. Trop de normes. Trop de charges. Trop de délais. Trop d’inspecteurs qui ne comprennent rien. Trop de lois qui changent chaque semaine. Trop d’ennemis publics déguisés en agents administratifs. Zemmour les écoute. Il ne parle pas tout de suite. Et dans son regard, une chose saute aux yeux : il connaît leur langue. Il connaît leur vie. Il ne joue pas au candidat. Il reprend son rôle de Français parmi les Français. Le décor est posé. Maintenant, ouvrons le programme.
L’ÉTAT QUI ÉTOUFFE, LA FRANCE QUI PRODUIT
Zemmour n’a jamais dit que l’État était inutile. Il dit que l’État a dépassé sa mission. Et dans ce dépassement, il est devenu toxique. Pas pour les multinationales, pas pour les cabinets de conseil, pas pour les importateurs de pacotille subventionnée. Non. Toxique pour ceux qui travaillent vraiment. Ceux qui se lèvent à 5 h du matin pour ouvrir une boulangerie. Ceux qui ferment à 20 h après avoir géré six devis, deux clients en retard, un four HS et une facture URSSAF incompréhensible. Zemmour n’enrobe pas ses mots. Il ne parle pas de transformation. Il parle de réduction. De dégagement. De retrait. L’État doit sortir des pattes de ceux qui produisent. Moins de taxes. Moins de normes. Moins de paperasse. Moins de ministres qui décident à ta place de comment gérer ton garage, ton atelier, ta boîte de transport. La France n’est pas tombée à cause d’un manque d’idées. Elle est tombée d’asphyxie. L’oxygène, c’est la liberté d’entreprendre. Et dans le programme de Zemmour, cette liberté a un nom : la remobilisation du pays réel contre le pays administratif.
CE QUE ZEMMOUR PROPOSE VRAIMENT AUX PATRONS FRANÇAIS
Dans la boue médiatique, le programme économique de Zemmour a été volontairement noyé. On lui colle l’étiquette identitaire pour éviter de parler fiscalité, concurrence, travail. Pourtant tout y est. Première mesure immédiate proposée en 2022 : baisse des charges patronales sur les salaires modestes. Ce n’est pas une promesse vague. C’est une réduction ciblée pour relancer l’embauche dans les TPE et PME. Deuxième mesure passée sous silence : suppression progressive de la CFE pour les très petites entreprises. La fameuse cotisation foncière, qui taxe même quand on fait zéro bénéfice. Zemmour veut la rayer pour libérer la trésorerie de ceux qui galèrent. Troisième axe central : neutraliser la dépendance à l’énergie bruxelloise. Il refuse l’indexation du prix de l’électricité sur les marchés européens. Pour les boulangers, les frigoristes, les restaurateurs, cette réforme est vitale. On n’a pas besoin de médailles, disent-ils. On veut juste pouvoir payer nos factures et embaucher. Dans l’économie Zemmour, ce n’est pas Bercy qui décide. C’est l’atelier, la ferme, le chantier.
SIMPLIFIER OU DISPARAÎTRE : LE CHOC ZEMMOUR CONTRE LA PAPERASSE
Ce n’est pas un slogan. C’est une obsession. Zemmour l’a dit et répété : la complexité administrative française est une pathologie d’État. Elle coûte des milliards. Elle détruit des carrières. Elle décourage les vocations. Et elle fait fuir les talents. Dans son programme, il propose une simplification immédiate du Code du travail pour toutes les entreprises de moins de vingt salariés. Objectif : revenir à un socle clair, compréhensible, applicable sans armée de juristes. Il ne s’agit pas de déréguler. Il s’agit de désengorger. Deuxième offensive : supprimer la moitié des normes administratives dans les douze premiers mois. Audit massif, nettoyage, destruction. À chaque norme inutile retirée, c’est une heure gagnée, un stress évité, une boîte sauvée. Troisième mesure de terrain : forcer l’administration à payer les TPE sous quinze jours. Fin des délais à rallonge, fin des trésoreries asphyxiées par des marchés publics impayés. Enfin, création d’un guichet unique fiscal et social. Plus besoin de parler à six entités différentes quand tu veux régler un problème ou déclarer un salarié. C’est simple : Zemmour veut rendre au chef d’entreprise le droit de se concentrer sur son métier, pas sur des formulaires.
CONCURRENCE DÉLOYALE, ISLAMISME ÉCONOMIQUE ET TRICHE MONDIALISÉE : ZEMMOUR VEUT Y METTRE FIN
Il n’y a pas de liberté économique sans règles justes. Et dans la France d’aujourd’hui, les artisans et petits patrons jouent avec un boulet au pied, pendant que d’autres trichent à ciel ouvert. Zemmour le sait. Il parle de cette boucherie halal qui ne respecte aucune norme mais perçoit des aides. De ce chauffeur VTC qui bosse avec cinq comptes différents. De ces marchés où l’on vend du textile importé du Pakistan moins cher que la matière première française. Et il n’en fait pas un débat identitaire. Il en fait une question de loyauté économique. Premier axe : taxation ciblée des produits importés de pays qui ne respectent pas les normes sociales, fiscales ou environnementales européennes. Deuxième ligne : priorité nationale à l’embauche dans les petites entreprises françaises, notamment en zones rurales et désindustrialisées. Troisième levier : fermeture immédiate des fausses structures communautaires qui détournent l’économie pour installer un séparatisme déguisé. Zemmour ne cherche pas à opposer. Il cherche à restaurer. Remettre tout le monde sur la même ligne de départ. Sans fraude, sans favoritisme, sans clientélisme. Juste la règle. La vraie. Celle qui protège ceux qui jouent le jeu, contre ceux qui veulent le manipuler.
TRANSMETTRE, PROTÉGER, RELANCER : UNE ÉCONOMIE FRANÇAISE POUR LES FRANÇAIS
Zemmour ne parle pas seulement aux patrons d’aujourd’hui. Il parle aussi à ceux qui veulent transmettre. À ceux qui, après trente ans à bosser comme des chiens, n’ont qu’une angoisse : laisser leur entreprise mourir ou la voir rachetée par un fonds qatari. C’est là qu’intervient une autre partie méconnue de son programme. Exonération complète des droits de succession pour les entreprises familiales transmises aux enfants. Ce n’est pas un cadeau fiscal. C’est une mesure de survie. Pour qu’un garage familial ne finisse pas bradé. Pour qu’une boulangerie ne devienne pas un kebab low cost. Autre pilier : aide directe à la reprise d’entreprises dans les zones rurales. Là où l’État a tout déserté. Là où les banques ferment. Là où il n’y a plus de dentiste, plus de médecin, plus d’usine. Là où une TPE, c’est une bouée de sauvetage pour tout un canton. Enfin, Zemmour veut redonner la priorité aux entreprises françaises dans l’attribution des marchés publics. L’argent de l’État doit irriguer la France qui produit, pas les multinationales anonymes qui n’ont ni racines, ni drapeau. Et pour aller plus loin, il propose un droit de veto économique sur tout rachat stratégique par une puissance étrangère, même via des montages. Il ne s’agit pas de protectionnisme bêlant. Il s’agit de souveraineté. Et dans cette souveraineté, l’entreprise française est un bastion.
L’ÉTAT N’EST PAS L’ENTREPRISE DE LA FRANCE. C’EST LE PATRON QUI LA FAIT TENIR.
Le logiciel Zemmour n’est pas celui des énarques. Il n’est pas celui des communicants. Il n’est même pas celui des grands patrons. Il est celui de la France d’en bas. Celle qui produit quand personne ne regarde. Celle qui ne défile pas, qui ne menace pas, qui ne quémande pas. Mais qui tient le pays à bout de bras. Ce programme, personne n’en a parlé. Parce qu’il est trop clair. Trop logique. Trop dérangeant. Il ne propose pas de pacte de relance, de plan à dix ans, de stratégie verte floutée. Il propose de couper les chaînes. Il ne promet pas l’assistanat fiscal. Il promet la liberté économique. Pas pour les multinationales. Pour les artisans. Pour les patrons de café. Pour les électriciens. Pour les PME qui se battent face à Amazon, face à la douane, face au RSI, face aux normes, face à la paperasse, face à la folie. Zemmour ne cherche pas à gérer la France comme une entreprise. Il cherche à rendre l’entreprise aux Français. Ceux qui veulent travailler. Ceux qui veulent transmettre. Ceux qui ne demandent qu’une chose : qu’on arrête de les punir d’exister. Ce n’est pas une promesse de président. C’est une déclaration de guerre à l’État tentaculaire. Et dans cette guerre, Zemmour a choisi son camp : celui de ceux qui se lèvent, et non de ceux qui ponctionnent.