ZEMMOUR : LE RETOUR DANS L’ARÈNE :

LA GRANDE INTERVIEW QUI FAIT TREMBLER L’ÉTAT PROFOND.

Décryptage inédit de l’échange explosif entre Éric Zemmour et Sonia Mabrouk. Gaza, islam, Macron, remigration : un moment de vérité brutale, signé Opinion Day®™.

ZEMMOUR : LE RETOUR DANS L’ARÈNE

🧨 IL PARLE DE TOUT. IL NOMME TOUT. IL DÉMASQUE TOUT.

Éric Zemmour a parlé. 45 minutes. En direct. Sans montage. Face caméra. Face à Sonia Mabrouk, l’une des rares journalistes qui ose encore poser les questions sans en jouer la réponse. C’était ce mardi 10 juin à 8h10, sur Europe 1 et CNEWS. Ce n’est pas une interview : c’est une déclaration de guerre au mensonge, une radiographie sans anesthésie, un plan de bataille dessiné à l’encre noire. Gaza, le 7 octobre, la Belgique, l’islam, Macron, les pillards du PSG, les juges, les prisons, les gilets jaunes, la remigration, Reconquête – tout y est passé. Et tout y est passé au scalpel.

 
1. DE GAZA À DRESDE : LE VÉRITÉ À LA BOMBE INCENDIAIRE

Dès les premières secondes, Zemmour renverse le terrain. Gaza ? Il refuse le mot “génocide”, le déclare obsolète, vidé de son sens par ceux qui en usent comme d’un slogan. À la guerre, dit-il, on bombarde là où se cachent les ennemis. Oui, il y a des civils. Oui, il y a des femmes. Comme à Dresde en 1944. Roosevelt était-il un criminel contre l’humanité ? La phrase claque. Elle ne s’excuse pas. Elle établit un principe : le Hamas a initié une guerre barbare – Israël y répond.

Il remonte à l’origine de l’origine : 1947, plan de partage de l’ONU. Accepté par Israël, refusé par les pays arabes. Et depuis, un refus permanent. Selon lui, l’islam ne supporte pas un Israël victorieux. L’israélite ne peut être qu’un dhimmi. Le juif qui gagne devient une insulte théologique.

 
2. LA BELGIQUE, CE CALIFAT SUBVENTIONNÉ

« La Belgique est une conquête facile. » Cette phrase, personne d’autre n’oserait la prononcer. Zemmour la débite calmement. Et il développe : Bruxelles est devenu un califat. Subventionné par la Commission européenne. Menacé quand une librairie l’invite. Transformé en laboratoire de l’inversion démographique.

Il cite Henri Pirenne : « Qui tient la Belgique tient l’Europe. » Aujourd’hui, selon lui, l’islam tient la Belgique. Et l’Europe vacille. Ce n’est pas un discours d’analyse, c’est un cri d’alarme préventif. Et prémonitoire.

 
3. ISLAM = ISLAMISME : LA THÈSE FRONTIÈRE

Zemmour explose le faux débat. Islam et islamisme ? Pour lui, c’est le même Coran. La même source. Le même texte. Il n’y a pas d’islam modéré, il y a des musulmans modérés – et c’est toute la nuance. Il ne veut pas réformer l’islam, il veut que les musulmans, en France, acceptent les lois de la République comme les juifs l’ont fait sous Napoléon. À marche forcée. Sinon, c’est l’incompatibilité radicale.

La fitna, les frères musulmans, l’Égypte, la Jordanie : il démonte les exemples qu’on oppose à sa logique. Il montre que la charia est parfois étatique même quand les islamistes sont interdits. Ce n’est pas une guerre d’idées. C’est un rapport de force.

 
4. LES NOUVEAUX BARBARESQUES

Quand il parle des émeutes post-PSG, Zemmour ne tourne pas autour. « Ils pillent, volent, et s’ils peuvent, violent. Comme leurs ancêtres barbaresques. » Les mots sont crus. Le parallèle est assumé. Les razzias modernes ont remplacé les bateaux par des scooters, les sabres par des battes.

Pourquoi ne le font-ils pas dans leur pays d’origine ? Parce que là-bas, il y a la répression. En France, dit-il, on a remplacé l’autorité par la soumission judiciaire. Le résultat : c’est la jungle. Et la jungle, c’est la loi du plus fort. Ou du plus nombreux.

 
5. MACRON : LE PRÉSIDENT DU ‘BRAINWASH’

Zemmour n’a pas oublié la phrase présidentielle sur les faits divers et le “brainwash”. Il en fait un double diagnostic : d’abord, un langage qui fusionne le mondialisme (brainwash) et l’islamisation (frère). Ensuite, une idéologie : celle de l’homme sans racines, sans culture, sans mœurs. L’anti-France érigée en gouvernance.

« Les morts gouvernent les vivants » – il cite Auguste Comte pour répondre à Macron. L’enracinement contre le déracinement. L’histoire contre l’abstraction. La mémoire contre l’oubli organisé.

 
6. PROGRAMME DE GUERRE : RÉPRIMER, EXPULSER, PROTÉGER

Zemmour dévoile une stratégie en cinq points, brutale, assumée, sans fard :

Ordre immédiat : les policiers doivent sortir des voitures. Pas d’excuse, pas d’atermoiement.
Justice réelle : peines lourdes, prison comme norme. Et s’il en manque, on loue à l’étranger.
Sanctions sociales : suppression des allocations aux familles des mineurs délinquants.
Déchéance : double nationalité = double peine. Crime = fin de la nationalité.
Remigration : leur haine de la France les disqualifie. Il faut les renvoyer.

C’est radical ? Non, dit-il, c’est la seule façon d’éviter la guerre civile. Ou d’y survivre.

 
7. LES JUGES, LES ORDRES, LES COMPLICES

La seule fois où la police a été impitoyable ? Avec les gilets jaunes. Là, pas de quartiers. Pas de consignes de retenue. Parce qu’ils étaient blancs. Français. Pauvres. Tout le reste, dit-il, est mollesse, complicité, lâcheté. Il accuse frontalement : les ordres viennent d’en haut. Et en haut, il y a des gens qui ne veulent pas la paix. Ils veulent la résignation.

 
8. LE GRAND SILENCE : UNE ARME DE CAMPAGNE

Pourquoi Zemmour est-il moins visible ? Parce qu’il refuse le rôle de commentateur permanent. Il écrit. Il rencontre. Il construit. Il attend le bon moment. Comme un joueur de rugby qu’on ne voit pas sous la mêlée, mais qui prépare la percée.

« Je suis président de Reconquête. Candidat ? On verra. Les favoris à deux ans de l’échéance, en général, ils perdent. » La formule est connue. Mais elle a une autre tonalité ici : celle de l’homme qui se prépare, non pour commenter, mais pour revenir.

 
9. CONCLUSION – EN FACE, LA RÉALITÉ SE DÉROBE

À la fin, Sonia Mabrouk évoque Knafo, la présidentielle, les rumeurs. Zemmour évite l’effet d’annonce, mais ne laisse aucun doute : le combat continue. Pas à moitié. Pas en silence. Mais à sa manière. Dans le fond. Par la parole rare et le message net.

La vérité ne passera jamais sur TF1 à 20h. Elle passe à 8h10, sur CNEWS et Europe 1, dans un fauteuil, avec des yeux perçants et des mots qui claquent. Ce matin-là, elle avait le visage d’Éric Zemmour.

 
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