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SARAH KNAFO MONTE. ET ILS COMMENCENT À AVOIR PEUR.

+3 points dans sa cote d’avenir. Ce n’est pas un chiffre, c’est un tremblement. Pas une statistique, une secousse. Juin 2025. Le baromètre Verian pour le Figaro Magazine place Sarah Knafo en progression nette dans l’opinion. Elle gagne trois points. Et dans les couloirs de la Macronie, ça serre les mâchoires.

Car derrière ces trois points, il y a quelque chose que le pouvoir ne contrôle pas : une femme libre, déterminée, offensive, qui ne doit rien à personne. Knafo ne sort pas d’un cabinet de com. Elle n’a pas été moulée par Sciences Po pour faire des phrases qui ne veulent rien dire. Elle ne s’excuse pas d’exister, elle ne baisse pas la tête quand on la traite de conservatrice, elle ne minaude pas pour plaire à la gauche molle.

Et voilà que ça commence à marcher.

Ce que les médias appellent “cote d’avenir”, c’est en réalité la projection d’un peuple qui cherche une alternative sérieuse au spectacle politique. Trois points. C’est la marge que les instituts considèrent comme “significative”. Traduction : elle devient visible, audible, et surtout, crédible.

Dans un pays où la carrière politique passe d’habitude par 20 ans de courbettes, elle avance en diagonale, seule, en s’appuyant sur un seul carburant : le réel. Les éditorialistes de LCI la raillent, mais les électeurs écoutent. Elle dérange. Elle avance. Elle inquiète.

Knafo n’est pas une influenceuse, c’est une opératrice. Elle n’a pas besoin d’un poste pour peser. Trois points de plus dans les sondages, c’est trois claques dans la gueule des commentateurs qui pensaient qu’elle resterait dans l’ombre de Zemmour.

Mais ce qu’ils n’ont jamais compris, c’est qu’elle n’a jamais été dans son ombre : elle était dans le moteur.

Trois points, c’est une promesse. Trois points, c’est une rupture de ligne. Trois points, c’est une gifle pour tous les “experts” qui disaient qu’elle n’existait que par procuration.

Elle existe. Elle monte. Elle inquiète. Et ce n’est que le début.

Les électeurs ne se trompent pas : ils reconnaissent l’intelligence froide, la précision tactique, la résistance idéologique. Pendant que la gauche pleurniche sur la laïcité et que la droite se bat pour des investitures, elle construit. Discrètement. Solidement. Radicalement.

Elle n’a pas besoin d’un strapontin. Elle trace. Et les autres accusent le retard.

Trois points, ce n’est pas une embellie : c’est une lame de fond.

Knafo monte.

Et maintenant, ils le savent.