ILS ONT GOOGLE™. VOUS AVEZ OPINION DAY®™.
LE GRAND REMPLACEMENT DE LA RÉALITÉ™
UNIA, Google™, ONG… enquête sur l’effacement algorithmique de la France réelle. Opinion Day®™ dévoile la matrice.
📛 LE GRAND REMPLACEMENT DE LA RÉALITÉ™
UNIA, Google™, ONG : l’algorithme belge qui remodèle la vérité
Il tape "islamophobie" sur Google.be. Il s’attend à des données, des faits, une réalité. Il tombe sur des guides de prévention, des campagnes inclusives, des signalements de haine, des définitions floues — mais pas un mot sur ce qu’il voit, chaque jour, dans son quartier. Ce n’est plus une recherche. C’est un redressement idéologique.
UNIA, institution publique, s’est faite experte dans l’art d’invisibiliser l’invisible. Elle ne nie pas la souffrance, elle en redéfinit les contours. L’islamophobie ? Un “racisme culturel”. Le racisme structurel ? Une “discrimination sans intention”. Et l’État belge paie pour ça. Mieux : il subventionne sa propre neutralisation cognitive.
📊 Dans le rapport 2022 d’UNIA, 67 % des signalements de discriminations religieuses concernent des musulmans. D’accord. Mais les actes, eux, sont rarement détaillés. Pas de chiffres sur les auteurs. Pas de profilage inverse. Juste une idée : ce qui blesse, c’est l’idée même que l’on puisse critiquer une religion.
Alors on catégorise. On module. On déconstruit. UNIA explique que l’islamophobie peut être “non infractionnelle”, c’est-à-dire basée sur des préjugés... non punissables. Mais cette distinction sert une finalité : enfermer toute critique rationnelle de l’islam dans la case “hostilité culturelle”. Et cette case, elle, est à combattre. Même légalement.
📚 La brochure “Ensemble pour l’égalité” (2025), fièrement mise en avant sur leur site, vante les partenariats avec des ONG antiracistes, les formations à la diversité, et les subventions croisées avec l’Union européenne. Tout cela dans un flou comptable assumé : 8 millions d’euros de budget global, mais aucune ligne islamophobie. Aucun indicateur de performance. Juste des narratifs auto-validés.
Et pourtant, les mots tuent. Pas au sens médiatique : au sens numérique.
UNIA ne censure pas directement. Elle suggère. Elle forme. Elle oriente.
Elle “travaille avec la police”, forme les entreprises, collabore avec les institutions.
Elle ne traque pas les dissidents : elle les rend inaudibles.
Un journaliste ? Il n’est pas censuré. Il est ignoré.
Un élu ? Il n’est pas poursuivi. Il est disqualifié.
Le discours public devient un terrain miné, où l’on se surveille, non par peur de mentir — mais par peur de nommer.
Et c’est là que le piège se referme : le racisme structurel n’est plus un concept. C’est un prétexte.
UNIA dit : “il n’est pas nécessaire d’avoir une intention discriminatoire pour que la discrimination existe”.
Le simple fait d’appartenir à la majorité blanche, de critiquer une pratique religieuse, ou d’utiliser un mot jugé connoté, devient un acte de “violence institutionnelle”.
⚠️ Tu es blanc, donc tu as tort
⛪ Tu es chrétien, donc tu es dominant
🧠 Tu es critique, donc tu es raciste
📎 La boucle est bouclée. Il n’y a plus de dialogue. Il n’y a que des audits.
UNIA ne fait pas de politique. Elle fabrique l’air ambiant.
Elle impose une couche sémantique à la société belge, en partenariat avec le MRAX, l’ENAR, et d’autres officines de la déconstruction.
Elle ne combat pas l’extrême droite.
Elle invalide toute verticalité politique en traitant la souveraineté comme un racisme de forme.
Et derrière ? Il y a Google™, YouTube™, Wikipédia™
Les mêmes mécaniques : référencement inversé, visibilité artificielle, partenariats publics-privés.
Les institutions comme UNIA ne censurent pas.
Elles reprogramment.
Elles définissent les balises acceptables du débat.
🧬 Ce n’est plus du droit. C’est du formatage cognitif.
Le Grand Remplacement a muté.
Il n’est plus seulement démographique.
Il est documentaire.
Il est algorithmique.
Il est narratif.
C’est le réel qu’on remplace, morceau par morceau.
Ce que tu dis, ce que tu vois, ce que tu crois savoir… tout cela est maintenant filtré, scanné, recomposé.
Et si tu veux nommer ce que tu vois ? Tu es islamophobe™.
Mais ici, on ne censure pas.
Ici, on archive.
Réalité belge, version UNIA™. Consultable. Critiquable. Irréfutable.