🎯 ISLAMOPHOBLABLA™ : LA CARTE “BAPTÊME” POUR DÉFENDRE LE VOILE ?

PANOT : LE BAPTÊME EN GUISE DE DÉTOUR

Elle détourne l'attention, nie l'évidence, et ose tout. C’est à ça qu’on la reconnaît. Nouvelle démonstration d’Islamophoblabla™ sur BFMTV.
Caricature satirique de Mathilde Panot en train de parler dans un micro doré, avec des traits exagérés, un air sévère et de grandes boucles d’oreilles.

ISLAMOPHOBLABLA™ : MATHILDE PANOT, OU LE BAPTÊME DE LA DÉBÂCLE INTELLECTUELLE

 

📍 Par Opinion Day®

🟥 “C’est grave docteur ? – Non, c’est juste Panot.”

Elle a parlé. Encore. Et une fois encore, elle n’a pas déçu. Mathilde Panot, figure tutélaire de l’Insoumission de plateau, est montée sur la scène médiatique de BFMTV ce 28 mai 2025, pour une énième messe progressiste. Le sujet du jour ? Le rapport explosif sur les Frères musulmans en France. L’enjeu ? National, stratégique, civilisationnel. La réponse de Panot ? Le baptême. Oui, le baptême. Celui des bébés. Catholiques.

🎤 Traduction simultanée : « Parlons voile islamique, mais surtout, détournons tout vers un péché originel chrétien. »

🧠 Ce niveau de contorsion rhétorique mérite un Cirque d’Hiver à lui seul.

🎯 Le concept : Islamophoblabla™ à l’état chimiquement pur

Bienvenue dans la novlangue insoumise. Une langue où “voile imposé à une gamine de 8 ans” = “baptême symbolique d’un nourrisson”, où “Frères musulmans” = “CNews”, et où “rapport parlementaire documenté” = “propagande raciste”.

L’Islamophoblabla™, c’est cette mécanique désormais bien rodée qui permet à toute une classe politique de noyer le poisson du fondamentalisme sous des torrents de culpabilité chrétienne. Un grand remplacement sémantique, où le sujet grave devient suspect, et où celui qui s’interroge devient complice d’extrême droite.

Et Panot, elle nage là-dedans comme un poisson dans l’eau trouble.

🧴 Le baptême : diversion sacrée

« Est-ce que c’est acceptable de faire baptiser des enfants à un âge où ils ne peuvent pas consentir ? »

Poser cette question, c’est déjà tricher. Car personne ne vous oblige à baptiser votre enfant. Ni le prêtre. Ni l’État. Ni la CAF. Le baptême n’ouvre ni droits sociaux, ni privilèges culturels, ni case à cocher sur Parcoursup. Le voile, en revanche, agit dans certains milieux comme un code de conformité identitaire, imposé sous pression communautaire.

Mais dans l’univers de Mathilde Panot, tout se vaut, tout se relativise, tout se liquéfie.

Un bébé baptisé ? Oppression patriarcale.

Une gamine voilée à 9 ans ? Émancipation culturelle.

Il faut oser.

 
📺 CNews, obsession ou obsession ?

« CNews parle de l’islam 334 jours par an. »

Panot nous livre ce chiffre magique comme une météorologue du prêche, sans jamais citer sa source. Sans doute un rapport scientifique publié par la Ligue des Données Inventées.

Car tout est là : accuser, diffuser, confondre, puis se victimiser. Ce que Panot reproche à CNews, ce n’est pas de mentir : c’est de parler. De parler des Frères musulmans, du voile, de l’emprise religieuse, de l’angle mort de certaines banlieues. Bref, de tout ce que LFI voudrait garder sous silence dans sa fabrique du consentement idéologique. 
🕋 Frères musulmans, frères occultés

Pendant que Panot nous parle d’eaux bénites et de croix en bois, le sujet de fond est évacué : la structuration en réseau, sur le sol français, d’une organisation islamiste transnationale, dotée de relais, de financements, de cadres idéologiques et de ramifications politiques.

À l’étranger, on interdit les Frères. En Égypte, on les classe terroristes. Au Qatar, on les finance.

En France ? On les nie.

Et parfois, on les fréquente.

Mathilde Panot ne critique pas le rapport. Elle l’invalide par réflexe pavlovien, comme on récite un dogme : « Islamophobie, racisme, stigmatisation, amalgame. »

Les mêmes mots. Toujours. Comme une IA en bug infini.

🧟 Victimisation, rédemption, inversion

Panot a compris la recette : ne jamais se placer sur le terrain du réel. Toujours jouer la carte morale, le pathos, la compassion absolue. Car dans l’univers insoumis, l’ennemi est structurel, pas intentionnel.

👉 Si vous critiquez une organisation islamiste, c’est que vous stigmatisez « l’ensemble des musulmans ».

👉 Si vous évoquez l’imposition du voile à des mineures, c’est que vous êtes « colonialiste dans vos références ».

👉 Et si vous demandez un débat rationnel, c’est que vous êtes « possédé par Zemmour ».

La boucle est bouclée.

 
🕯️ Le cas Aboubakar Cissé : instrumentalisation tragique

Et comme toujours, pour clore son propos, Panot cite un drame. Un homme assassiné dans une mosquée du Gard. Un événement terrible, qui mérite silence, respect, et prudence dans les analyses.

Mais que fait-elle ? Elle brandit ce fait-divers comme un totem, l’insère dans sa mécanique narrative, et tire la conclusion attendue : la France serait devenue un pays islamophobe, détestant ses musulmans au point de provoquer des meurtres.

Sauf que non.

La réalité, une fois encore, est plus complexe, plus tragique, plus humaine. Mais surtout : elle n’arrange pas le storytelling de LFI.

📚 LFI, nouvelle agence de com des Frères musulmans ?

Cela pourrait prêter à sourire, s’il ne s’agissait pas d’un parti représenté dans toutes les instances de la République. Car derrière le rideau de fumée, il y a une stratégie, une ligne, une idéologie.

Quand on regarde le palmarès de LFI :

Refus de nommer l’islamisme
Applaudissements pour les « résistants » palestiniens
Silence radio sur les pressions religieuses en banlieue
Attaques systématiques contre les lanceurs d’alerte

… on comprend que le combat n’est pas contre l’extrême droite, mais contre la laïcité elle-même.

 
🧨 Islamophoblabla™ : le mot qui les fait paniquer

 

C’est pour cela que le mot Islamophoblabla™ les rend hystériques. Parce qu’il démonte leur jeu. Parce qu’il expose leur mécanique. Parce qu’il révèle ce qu’ils sont devenus : les idiots utiles d’un combat qui les dépasse.

En réduisant tout à de la phobie, ils créent l’impossibilité du débat. En hurlant au racisme, ils justifient la lâcheté. En relativisant tout, ils imposent leur vide.

Le vide de l’analyse. Le vide du courage. Le vide de la pensée.

💬 Conclusion : On ne débat plus avec ces gens-là. On les décrit.

Mathilde Panot ne débat pas. Elle performe. Elle construit une dramaturgie victimaire sur mesure, où tout fait sens à condition de faire diversion. C’est l’arme ultime du déni médiatique sous stéroïdes.

Mais nous, à Opinion Day®, on ne débat pas non plus avec ces gens-là.

On les décrit.

On les déshabille rhétoriquement.

On les cloue au mur des faits.

Et pendant que Panot regarde le ciel des baptêmes pour fuir la terre des réalités, nous, on reste sur la ligne. Celle de la laïcité, de la clarté, de la vérité.

Parce qu’en République, on ne voile pas les enfants.

On ne voile pas les faits.

Et on ne se voile pas la face.

 
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