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🧠 NIQAB VS DÉMOCRATIE™ – LA GAUCHE QUI NE DISCUTE PAS, ELLE INTERDIT.

🇩🇰 Pendant que Mette Frederiksen interdit le voile intégral à l’école, la gauche française négocie avec l’islam politique. Opinion Day®™ enfonce le clou dans un article que personne ne veut republier. Et c’est bon signe.

 


NIQAB VS DÉMOCRATIE™ – LA GAUCHE DANOISE RETIRE LE VOILE, LA FRANCE LUI MET DU ROUGE À LÈVRES

 

Elle n’a pas lancé un débat. Elle a lancé une décision. Elle n’a pas eu besoin de panels, d’éditos, de think tanks. Elle a juste dit : “Dieu doit céder le passage.” C’est une phrase. Et c’est une bombe. Elle vient de Copenhague. Elle est signée Mette Frederiksen, Première ministre du Danemark. Et elle fait l’effet d’un électrochoc dans une Europe anesthésiée. Cette femme, cheffe d’un gouvernement de gauche, annonce l’interdiction du niqab à l’école et à l’université. Elle ajoute qu’il n’y aura plus de salles de prière dans les établissements éducatifs. Et elle ne s’excuse pas. Elle gouverne. Pendant ce temps, en France, la gauche continue de chercher dans quel dictionnaire postcolonial elle pourra trouver une justification au fait de ne pas interdire ce qui opprime. Elle publie des tribunes, organise des journées d’étude, consulte des experts en “inclusivité religieuse” — bref, elle fait tout sauf ce que Frederiksen a fait : décider.

 


La gauche danoise tranche. La gauche française tord le bras à ses propres principes pour ne pas froisser les futurs électeurs du clientélisme culturel. L’une affirme que la démocratie a la priorité. L’autre murmure que peut-être, dans certains cas, à condition de contextualiser, le voile intégral pourrait ne pas être totalement incompatible avec l’universalisme républicain. C’est cette soumission lexicale que nous avons appelée Islamophoblabla™. Une marque. Un piège. Un poison lent.

 


Ce poison a gangréné toute la gauche française. Celle qui interdisait les signes religieux à l’école en 2004 est devenue celle qui explique que le voile est un choix. Celle qui défendait la liberté des femmes est devenue celle qui défend la liberté de s’enchaîner, pourvu que ça fasse bien sur les affiches électorales. Celle qui parlait d’universalisme est aujourd’hui incapable de dire que toutes les petites filles ont le droit de montrer leur visage, sans s’entendre accuser de racisme.

 


Pendant ce temps, Mette Frederiksen pose des lignes. Elle dit que le niqab est un marqueur de séparation, un outil de domination. Elle ne parle pas de “dialogue”. Elle n’invite pas des influenceuses en hijab à son parlement. Elle ne pleure pas sur le “risque de stigmatisation”. Elle dit : l’école est un lieu d’instruction, pas un terrain d’expression communautaire. Le voile intégral n’y a pas sa place. Ni dans l’amphi. Ni dans la cour. Ni derrière une vitrine de fausse tolérance.

 


Mais en France, tout le monde joue à se mentir. On surjoue l’inclusion pour mieux masquer l’exclusion réelle : celle des filles qui ne veulent pas se voiler, des enseignants qui ne veulent pas se taire, des principes qui ne veulent pas mourir. Et à la fin, on se retrouve avec des salles de prière dans les facs, des cours interrompus par des revendications religieuses, des surveillants agressés pour une jupe, des lycéennes isolées parce qu’elles ne se plient pas à la norme du quartier.

 


Islamophoblabla™ permet d’enterrer tout ça. C’est l’excuse parfaite. Le joker idéologique. Le mot qui tue la discussion. Tu parles ? Tu es islamophobe. Tu analyses ? Tu es d’extrême droite. Tu rappelles la loi ? Tu es réactionnaire. Et comme la gauche a peur d’être traitée de facho, elle se tait. Elle laisse faire. Elle détourne le regard. Ou pire : elle justifie. Et tout ça au nom du “respect”.

 


Mais respecter quoi ? Une idéologie qui nie l’égalité des sexes ? Un vêtement qui efface les femmes du champ visuel ? Une pratique qui isole et impose ? Ce n’est pas du respect. C’est de la lâcheté maquillée en vertu. C’est le logiciel Islamophoblabla™ qui a remplacé l’analyse par la sidération.

 


Pendant que la gauche française se débat dans ses contradictions, le Danemark agit. Et ce n’est pas la droite qui agit. C’est la gauche. Une gauche cohérente. Une gauche qui a gardé en tête que l’école est un sanctuaire républicain. Une gauche qui pense que l’émancipation n’est pas une opinion, mais une exigence. Une gauche qui se fout de passer pour “autoritaire” quand il s’agit de faire respecter la loi.

 


Cette gauche-là ne fait pas semblant. Elle n’essaie pas de sauver la chèvre de la laïcité et le chou de l’islam politique. Elle ne jongle pas avec les sigles des ONG subventionnées. Elle ne se réfugie pas derrière des sociologues qui confondent pluralisme et soumission. Elle dit : l’université n’est pas une mosquée. L’école n’est pas une enclave. Le Danemark n’est pas une zone floue.

 


Et nous, pendant ce temps-là ? On regarde des petites filles de 8 ans voilées dans la rue et on n’ose rien dire. On laisse des militants relayer la parole des Frères musulmans sur les réseaux. On tolère que des “associations culturelles” servent d’antichambre à la réislamisation des campus. On s’habitue à l’idée qu’un enseignant puisse éviter certains sujets “par sécurité”. Et quand quelqu’un s’en indigne, on l’accuse d’alimenter la haine.

 


La vérité, c’est qu’on a changé de logiciel sans le dire. On n’est plus dans la République. On est dans l’accommodement. Dans la gestion du sensible. Dans le dosage du renoncement. Et tout ça au nom de la paix sociale. Mais il n’y a pas de paix dans le mensonge. Il n’y a pas de paix quand une partie du territoire mental est livrée à des logiques théocratiques. Il n’y a pas de paix quand le courage politique est remplacé par le damage control médiatique.

 


La gauche danoise, elle, n’a pas peur de dire ce qu’elle défend. Elle n’a pas peur de heurter. Elle n’a pas peur de perdre des voix. Parce qu’elle a compris que céder, ce n’est pas inclure. C’est désarmer. Et qu’on ne bâtit rien sur le déni.

 


En face, la gauche française préfère détruire ses principes que de risquer une polémique. Elle préfère défendre le droit au niqab que de défendre le droit d’en sortir. Elle préfère publier une charte de la diversité plutôt que d’assumer que certaines pratiques religieuses n’ont pas leur place à l’université. Elle préfère se faire traiter d’islamophobe que de se faire traiter de complice de sexisme religieux. Car elle ne supporte pas la vérité.

 


Le voile intégral n’est pas une tenue. C’est une déclaration. Une affirmation que la loi religieuse prime sur la loi commune. Une négation du regard, du visage, de l’altérité. Ce n’est pas une croyance. C’est un signal politique. Un étendard. Un test. Et la France échoue à ce test. Jour après jour.

 


Et c’est pour ça qu’il faut dire merci à Mette Frederiksen. Pas pour ce qu’elle est. Mais pour ce qu’elle rappelle. Qu’il est possible d’être de gauche sans trahir la République. Qu’il est possible d’être féministe sans se soumettre. Qu’il est possible d’être démocrate sans négocier avec ceux qui veulent notre silence.

 


Et c’est à cela que sert Opinion Day®. À rappeler que ce combat n’est pas une polémique. C’est une ligne de vie. Et que derrière le concept Islamophoblabla™, il y a un choix : celui de plaire, ou celui de tenir. Nous, on a choisi. Et vous ?

 

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