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🔥 FRANCE EN FAILLITE™ – LE MINISTÈRE DES ARMÉES AU BORD DU BLACKOUT FINANCIER

Ils promettaient la guerre. Ils n’ont plus de quoi payer les cartouches.

Il fallait oser. Oser regarder la nation dans les yeux, un tricolore en fond de scène, et promettre « la plus grande montée en puissance militaire depuis 1960 ». C’est pourtant ce qu’Emmanuel Macron a fait. 100 milliards d’euros. 3,5 % du PIB. Une Défense française « exemplaire », « modernisée », « souveraine ». Et pendant qu’il jouait au stratège sur TF1, les industriels de l’armement recevaient des coups de fil de la DGA : « Suspendre les livraisons. On a plus un kopeck. »

Bienvenue dans la France des années 2020. Celle où l’on parle guerre totale à l’OTAN, réarmement à l’Est, bases en Afrique, drones navals, cyberdéfense, mais où l’on oublie la ligne budgétaire. Car selon les révélations explosives de Challenges, le ministère des Armées est littéralement à l’arrêt : pas une commande passée depuis janvier 2025. Pas un missile, pas une frégate, pas un Rafale. Rien. Nada. Zéro pointé. Les crédits sont gelés. Les opérations suspendues. Et les industriels piégés dans un grand flou organisé.

🎭 LE THÉÂTRE STRATÉGIQUE DE MACRON : DE LA GRANDEUR À L’ARDOISE

En janvier 2023, Macron présentait sa future loi de programmation militaire comme « la colonne vertébrale stratégique de la France de demain ». Cette LPM 2024-2030 devait incarner le sursaut. 413 milliards d’euros sur 7 ans. Un triplement des crédits cyber. Une flotte renouvelée. Des stocks de munitions reconstitués. Mais sur le terrain, en 2025, le constat est accablant : aucune des commandes phares prévues n’a été signée.

– Le programme PA-NG (porte-avions de nouvelle génération) est au point mort.

– Les commandes de missiles Aster, Mistral, Scalp, Meteor, Mica ? Suspendues.

– La frégate de défense et d’intervention (FDI) ? En attente d’arbitrage.

– Les 30 Rafale promis à l’armée de l’Air ? Rayés des écrans radar.

Officiellement, rien ne serait annulé. Officieusement, tout est gelé. Et personne ne sait jusqu’à quand.

⚖️ BERCY TIRE LE RIDEAU : LECOQ DE GUERRE N’A PLUS DE GRAINS

Selon plusieurs sources industrielles citées par Challenges, le ministère des Armées est littéralement étranglé par Bercy. La DGA, bras armé des commandes publiques, ne peut plus signer les contrats. Le ministère des Finances impose un contrôle humiliant sur chaque ligne, chaque opération, chaque centime.

Pourquoi ce blocage ? Parce que l’État français est ruiné. Parce que le déficit 2024 a dérapé. Parce que Bruno Le Maire n’a pas les moyens de sa dette. Et parce qu’en Macronie, les beaux discours passent avant la vraie caisse.

🛠️ LES INDUSTRIELS PRÉVIENNENT : DÉSINDUSTRIALISATION STRATÉGIQUE EN COURS

Pour les industriels du secteur, c’est un cauchemar. On les avait chauffés à blanc, promesses à l’appui. Investissez, recrutez, produisez français. Et aujourd’hui ? On leur dit que la commande est « en suspens », que le contrat est « reporté », que le financement est « incertain ».

Résultat : les chaînes ralentissent. Les ingénieurs partent. Les projets reculent. Et la souveraineté nationale s’éloigne à nouveau, victime de la schizophrénie budgétaire d’un État qui préfère payer des cabinets de conseil plutôt que des munitions.

📉 UNE ARMÉE EN DÉCROISSANCE : LE MENSONGE DU RÉARMEMENT

Macron a répété, en boucle, que « l’armée française est prête à faire face aux conflits du XXIe siècle ». Il oublie de dire que ses munitions datent du XXe. Il oublie de dire que ses chars sont à bout de souffle, ses avions en sous-nombre, et ses unités sans réserve. Il oublie surtout de dire que tout ce qui a été promis… ne sera pas livré.

La guerre est un théâtre. Macron en joue le général. Mais sans logistique, sans budget, sans industrie, ce théâtre n’est qu’un simulacre. Une mise en scène de puissance, sur fond de faillite contrôlée.

🚨 CONCLUSION : UN ÉTAT EN FAILLITE, UNE ARMÉE À L’ARRÊT

La France est-elle encore une puissance militaire crédible ? La question mérite d’être posée. Quand un pays ne peut plus honorer ses commandes stratégiques, quand ses industries de défense ne reçoivent plus de financement, quand ses soldats partent sans munitions pleines, alors il faut cesser de parler de souveraineté.

Macron avait promis 100 milliards. Il n’en a pas 100 millions. Lecornu avait promis le renouveau. Il livre le blackout. Et pendant que Bercy fait les poches de l’armée, c’est la sécurité nationale qui trinque.

Un pays qui parle guerre, sans pouvoir commander un missile, est un pays désarmé. Et désarmé… c’est déjà vaincu.