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Éric Zemmour, seul contre le mensonge : “D’où viennent ceux qui font ça ?”
En France, poser la question est déjà une déclaration de guerre
© Opinion Day® 2025 — Article libre de droits pour publication OpinionDay.info Encore des émeutes. Encore Paris. Encore le silence.Ce 1er juin 2025, Éric Zemmour ne publie pas un simple tweet. Il allume une torche. Une phrase tranchante, crue, sans compassion feinte :
“Encore des scènes d’émeutes à Paris. Mais attention, il ne faut surtout pas poser la question qui fâche : d’où viennent ceux qui font ça ? Et pourquoi sont-ils encore là ?”
C’est limpide, c’est explosif.
Et c’est précisément ce que le régime en place ne veut plus entendre.🕳️ La vérité enterrée sous les ruines
Des voitures brûlent. Des tramways sont caillassés. Des pompiers se font agresser.
Mais le réel, lui, est confiné dans le non-dit. On peut dire “violences urbaines”, “tensions sociales”, “jeunes en colère”, “quartiers populaires”.
Mais pas un mot sur les prénoms, les origines, la démission de l’État, la surreprésentation migratoire dans 99 % des émeutes françaises.
La République est en train de s’habituer à ses propres pogroms, pourvu qu’ils soient importés, communautaires, et sans trop de caméras en direct.
🔥 Éric Zemmour, l’interdiction incarnée
On ne le dit jamais assez :
Zemmour est interdit. Pas par décret. Par principe.
Tout ce qu’il énonce — même une statistique validée par l’INSEE — devient “haineux”.
Quand il demande d’où viennent les émeutiers, on lui répond qu’il “stigmatise”. Quand il évoque les prénoms, on hurle au “racisme d’État”. Quand il nomme les responsables, il est poursuivi pour “provocation à la haine”.
Et pourtant, chaque soir, l’actualité lui donne raison.
Les faits confirment la thèse. Les caméras valident le discours.
Mais le déni collectif est plus fort que l’évidence. Il faut à tout prix faire taire celui qui ose relier les points.
🤐 Médias : les nouveaux clercs du silence
Personne ne veut de cette question : “Pourquoi sont-ils encore là ?”
— Parce qu’elle dérange les juges,
— Parce qu’elle ridiculise les préfets,
— Parce qu’elle pulvérise les idéologies de gauche,
— Parce qu’elle met Macron face à son bilan : 10 ans de laxisme, de capitulation, de soumission à la rue importée.
Les journalistes, eux, récitent leur liturgie :
“ne pas faire d’amalgame”
“éviter les raccourcis”
“rappeler que la majorité des jeunes de banlieue ne sont pas violents”
Mais personne n’a dit le contraire.
Ce que dit Zemmour, c’est que les violents, eux, viennent toujours du même terreau.
Et c’est justement cette vérité que les journalistes n’ont plus le droit d’écrire.
🧱 Islamophoblabla™ partout, la sécurité nulle part
Chaque fois que Zemmour ouvre la bouche, le chœur des bien-pensants déclenche son alarme favorite :
“Islamophobie !”
Mais ce n’est plus de la phobie, c’est de la lucidité.
Et cette lucidité, ils la craignent.
C’est pourquoi Opinion Day® a déposé la marque Islamophoblabla™ :
Pour dénoncer ce rideau de fumée idéologique qui empêche tout débat sur l’islamisation, le communautarisme, le séparatisme, les prénoms et les quartiers perdus de la République.
Quand Zemmour dit :
“Pourquoi sont-ils encore là ?”
Le système répond :
“Chuuut, c’est de l’islamophobie.”
Et les voitures continuent de brûler.
🔴 Le retour de la question qui tue
Zemmour remet sur la table la seule question interdite, celle que posait déjà Georges Marchais en 1981 :
“La France ne peut pas être l’hôtel du monde entier.”
Mais Zemmour ne se contente pas de la poser.
Il y répond.
Il nomme.
Il accuse.
Il propose la remigration.
Il ose l’ultime tabou : retrouver un peuple français identifiable, souverain, chez lui.
🚩 Une scène d’émeute n’est pas un accident : c’est un symptôme
Chaque scène d’émeute est un bulletin de santé.
Et ce bulletin est catastrophique :
Zones de non-droit.
Réseaux communautaires intouchables.
Délinquance ethnique jamais sanctionnée.
Prisons saturées d’éléments non assimilés.
Mais surtout :
Un État qui abandonne les Français, pour ne pas heurter ceux qui ne veulent pas en devenir.
✊ Opinion Day soutient la question qui fâche
Parce que nous ne sommes pas là pour plaire.
Parce que nous ne voulons pas participer au grand mensonge national.
Parce que chaque émeute est un indice, pas une anomalie.
Et parce que Zemmour, même seul, pose la seule question légitime dans un pays qui se défait.
D’où viennent ceux qui font ça ?
Et pourquoi sont-ils encore là ?
Parce que personne n’a encore eu le courage de les faire partir.
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