🎯 IMPOSSIBLE DE CHOISIR UN TITRE. ALORS J’AI MIS TOUTES LES VÉRITÉS.
🛑 ZEMMOUR L’A DIT : C’EST UNE GUERRE. PAS UNE ÉMEUTE.
🔥 ZEMMOUR AVAIT RAISON : ILS METTENT LE FEU, NOUS ON DOIT CHANTER.
🧨 ZEMMOUR FACE À L’ÉMEUTE : IL N’Y A PAS DE FOOT, IL Y A UNE GUERRE DE CIVILISATION.
🚫 ZEMMOUR PARLE, L’ÉTAT NIE, LA FRANCE BRÛLE.
💣 ZEMMOUR NE DÉRAPE PAS. IL DÉCRIT CE QUI ARRIVE.
⚔️ 5–0 POUR LE PSG, DÉFAITE GÉNÉRALE POUR LA FRANCE.
🔥 ILS NOUS METTENT LE FEU. ET ON NOUS DIT DE CHANTER.
💀 ILS CASSENT, ILS BRÛLENT, ILS HAÏSSENT. ET C’EST NOUS LES RACISTES ?
🇫🇷 CE N’EST PLUS UNE VILLE QUI BRÛLE. C’EST LA FRANCE QUI DISPARAÎT.
Je n’ai pas pu choisir. Parce qu’en vérité, tout est juste. Tout est grave. Tout est en train d’arriver. Ce qui s’est passé samedi soir à Paris n’a rien à voir avec le foot. C’est Zemmour qui le dit. Mais au fond, on le savait déjà. Ceux qui regardent la France de 2025 avec des yeux ouverts n’ont pas besoin d’être convaincus : ils veulent qu’on mette des mots sur ce qu’ils vivent. Et c’est ce qu’il a fait. Avec une phrase terrible, glaçante, historique : “On chantait.” Oui. Pendant qu’eux mettaient le feu, nous, on chantait.
Ce qu’on a vu samedi, ce ne sont pas des supporters. Ce sont des assaillants. Ce ne sont pas des fêtards. Ce sont des milices. Ce ne sont pas des dérapages. Ce sont des messages. Et le message est limpide : ce territoire vous appartient de moins en moins. La République est en solde. La France est en feu. Et vous, braves gens, braves contribuables, braves Français, vous n’avez qu’à chanter, ramasser les débris, fermer les yeux, accepter. Toujours accepter.
Les vitrines explosent. Les bus brûlent. Les policiers reculent. Les “jeunes” avancent. Et dans les ministères, on tweete. Dans les plateaux télé, on relativise. Dans les syndicats, on s’excuse. Un drapeau palestinien à la main gauche, une barre de fer dans la main droite, et la République au milieu, comme un totem qu’on défonce pour le plaisir. Parce qu’ils le peuvent. Parce qu’ils savent qu’ils ne risquent rien. Parce qu’ils ont compris que ce pays est sans chef, sans loi, sans mémoire.
Éric Zemmour a mis les mots là où les autres mettent des euphémismes. Il a osé dire : “Guérilla de civilisation.” Et cette fois, personne n’a ri. Personne n’a pu dire qu’il exagérait. Parce que tout le monde l’a vu. Parce que cette fois, les images parlent. Elles parlent arabe, elles parlent violence, elles parlent rejet de la France. Elles parlent dans les flammes, les caillassages, les pillages. Et elles disent : on est chez nous, et vous, vous n’êtes plus chez vous.
La classe politique continue de jouer au Monopoly avec des allumettes. Ils déplacent des préfets, pondent des circulaires, annoncent des plans. Le pays réel, lui, ne croit plus à rien. Il a juste peur. Peur pour ses enfants. Peur de sortir. Peur d’être seul dans un bus après 22h. Peur de dire ce qu’il voit. Peur d’être traité de raciste pour avoir osé décrire la réalité. Mais cette peur, justement, est en train de changer de camp.
Zemmour parle de remigration. Ils crient au fascisme. Mais ils n’ont rien d’autre à proposer. Ils n’ont plus de solution. Ils n’ont plus de récit. Ils n’ont plus de peuple. Ils n’ont que la com’, les CRS en burn-out, les plateaux BFM, et les appels à “l’unité”. Mais de quelle unité parle-t-on ? L’unité avec ceux qui brûlent des bibliothèques ? L’unité avec ceux qui crachent sur nos drapeaux ? L’unité avec ceux qui ne veulent ni la France, ni ses lois, ni ses valeurs ?
La guerre est là. Elle ne dit pas son nom, mais elle a ses soldats. Elle a ses symboles. Elle a ses cibles. Elle est asymétrique, diffuse, identitaire, ethnique. Elle est financée, tolérée, protégée. Et elle gagne du terrain. Chaque jour. Pendant que nous, on chante.
Alors oui. Trop de titres. Trop de vérités. Trop d’images. Trop de souffrance. Cet article est un cri. Ce n’est pas une analyse. C’est une colère. Une colère qui dit : la France ne mérite pas ça. Et ceux qui le voient mais qui se taisent sont complices. Ce qui vient ne sera pas évité par des tweets. Ce qui vient exigera du courage, de la rupture, de l’autorité. Ce qui vient, Zemmour l’a nommé. Les autres l’ont nié. Et maintenant, c’est trop tard.
Alors non, je n’ai pas choisi un titre. Parce qu’aucun ne suffisait. Et parce qu’ils disent tous la même chose : la guerre est là, et la France officielle chante.
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