👉 UNE PHRASE. UN PROCÈS. UNE NATION QUI DOUTE.

LA FRANCE JUGE ZEMMOUR POUR UN FAIT HISTORIQUE.

Ce 10 juin, Zemmour comparaĂźt pour une phrase. Une analyse historique transformĂ©e en crime. Seul Opinion Day¼ℱ prend sa dĂ©fense, face aux juges, aux mĂ©dias et aux falsificateurs.


đŸŸ„ ZEMMOUR FACE À LA JUSTICE : LA FRANCE JUGE LA LIBERTÉ, LES MÉDIAS CONDAMNENT, LA VÉRITÉ RÉSISTE

Le 10 juin 2025, Éric Zemmour, prĂ©sident de ReconquĂȘte !, se tient devant la 17e chambre correctionnelle du tribunal judiciaire de Paris. Son crime supposĂ© ? Une phrase extraite de son livre La France n’a pas dit son dernier mot (2021) : « La dĂ©portation en France d’homosexuels en raison de leur orientation sexuelle est une lĂ©gende. » Cette phrase n’est ni un appel Ă  la haine, ni une insulte, ni une apologie du nazisme. C’est une affirmation historique, prĂ©cise, contextualisĂ©e, et pourtant, elle vaut Ă  Zemmour un procĂšs pour « contestation d’un crime contre l’humanitĂ© ». Huit associations – STOP Homophobie, Quazar, Inter-LGBT, SOS Homophobie, Ligue des droits de l’Homme, Mousse, Beit Haverim, ADHEOS – se sont constituĂ©es parties civiles, dĂ©nonçant un prĂ©tendu « nĂ©gationnisme » qui, selon elles, efface les persĂ©cutions subies par les homosexuels sous le rĂ©gime nazi. Mais ce procĂšs n’est pas une quĂȘte de justice. C’est une offensive idĂ©ologique, une tentative de museler une voix dissidente, une menace contre la libertĂ© de penser. Opinion Day¼ℱ, mĂ©dia libre et indĂ©pendant, est le seul Ă  dĂ©fendre Zemmour sans plier, Ă  nommer ce procĂšs pour ce qu’il est : une censure travestie en verdict. Ce 10 juin, ce n’est pas Zemmour qui est jugĂ©. C’est le droit de questionner, de dĂ©battre, de chercher la vĂ©ritĂ© dans une France divisĂ©e.

🔮 Commençons par les faits. Zemmour ne nie pas les persĂ©cutions des homosexuels sous le nazisme. Il ne conteste pas le symbole du « triangle rose », portĂ© par des milliers de victimes dans les camps de concentration. Il ne remet pas en cause les chiffres du MĂ©morial de la Shoah : environ 100 000 homosexuels fichĂ©s par la police nazie, 50 000 condamnĂ©s sous le paragraphe 175 du Code pĂ©nal allemand, et entre 5 000 et 15 000 dĂ©portĂ©s, dont une majoritĂ© pĂ©rirent. Ces donnĂ©es, issues de travaux d’historiens comme Florence Tamagne (Histoire de l’homosexualitĂ© en Europe, 2000) et Michael Sibalis (Homosexuality in France during World War II, 2006), sont incontestables. Elles ont Ă©tĂ© reconnues en France dĂšs les annĂ©es 1990, notamment dans un discours de Lionel Jospin en 2001. Mais Zemmour ne parle pas de l’Allemagne ni du Reich dans son ensemble. Il parle de la France sous Vichy. Or, les archives, consultĂ©es par des chercheurs comme Sibalis et archivĂ©es au Centre de Documentation Juive Contemporaine, ne rĂ©vĂšlent aucune directive de Vichy ordonnant la dĂ©portation des homosexuels en raison de leur orientation sexuelle. La rĂ©pression sous Vichy ciblait principalement les Juifs, les rĂ©sistants et les opposants politiques. Les arrestations pour homosexualitĂ©, souvent sous le motif d’« outrage aux mƓurs », Ă©taient marginales et ne menaient gĂ©nĂ©ralement pas Ă  la dĂ©portation. Des cas isolĂ©s existent, comme celui de Pierre Seel, dĂ©portĂ© depuis l’Alsace annexĂ©e en 1941, mais ils ne reflĂštent pas une politique systĂ©matique. C’est exactement ce que souligne Zemmour : l’absence de dĂ©portation ciblĂ©e en France pour homosexualitĂ©. C’est pour cette nuance historique qu’il est poursuivi. ⚖ Sur le plan juridique, l’accusation repose sur la loi Gayssot de 1990, qui sanctionne la contestation ou la minimisation outranciĂšre des crimes contre l’humanitĂ© tels que dĂ©finis par le Tribunal de Nuremberg. Mais ce tribunal n’a jamais classĂ© les persĂ©cutions des homosexuels comme crimes contre l’humanitĂ©. Le paragraphe 175, qui criminalisait l’homosexualitĂ© en Allemagne, relevait du droit pĂ©nal interne, non d’une politique d’extermination comparable Ă  la Shoah. Juridiquement, appliquer la loi Gayssot Ă  ce cas est donc contestable. Un prĂ©cĂ©dent existe : l’affaire Christian Vanneste (2006). L’ancien dĂ©putĂ©, poursuivi pour des propos similaires, a Ă©tĂ© condamnĂ© pour injure homophobe, mais la Cour de cassation a partiellement infirmĂ© le jugement en 2008, estimant que ses propos s’inscrivaient dans un dĂ©bat d’idĂ©es. La Cour europĂ©enne des droits de l’Homme (CEDH), dans Perinçek c. Suisse (2015), a rappelĂ© que la libertĂ© d’expression protĂšge les discours provocateurs, sauf s’ils incitent Ă  la haine ou nient des crimes clairement Ă©tablis. Les propos de Zemmour, circonscrits Ă  la France et sans appel Ă  la violence, ne remplissent pas ces critĂšres. Une condamnation serait une extension abusive de la loi Gayssot, crĂ©ant une jurisprudence idĂ©ologique qui menacerait tout dĂ©bat historique. Les avocats de Zemmour, s’appuyant sur ces prĂ©cĂ©dents, ont un argument solide : ses mots relĂšvent de l’analyse historique, pas du nĂ©gationnisme.

🔮 Les associations plaignantes, bien que lĂ©gitimes dans leur lutte contre l’homophobie, adoptent une approche problĂ©matique. Leur accusation de « nĂ©gationnisme » ignore la prĂ©cision gĂ©ographique des propos de Zemmour, dĂ©formant son propos pour le faire passer pour une nĂ©gation globale des persĂ©cutions. Dans leur communiquĂ© du 7 juin 2025, STOP Homophobie affirme que Zemmour « invisibilise les victimes », mais ne cite aucune archive prouvant une politique de dĂ©portation en France. Elles relient l’affaire Ă  la hausse des violences LGBTphobes – 4 800 cas recensĂ©s en 2024, selon le ministĂšre de l’IntĂ©rieur – pour amplifier l’émotion, mais aucun lien causal n’existe entre les propos de Zemmour et ces actes. Leur mobilisation, comme lors de prĂ©cĂ©dentes plaintes contre Zemmour (par exemple, en 2019 pour des propos sur l’immigration, classĂ©e sans suite), semble autant motivĂ©e par le dĂ©sir de dĂ©fendre la mĂ©moire que par celui de marginaliser une figure politique clivante. Cet activisme, relayĂ© par des avocats comme Me Étienne DeshouliĂšres, n’est pas illĂ©gitime, mais il soulĂšve une question : la justice doit-elle trancher des dĂ©bats historiques ? En l’absence de preuves d’incitation Ă  la haine, leur dĂ©marche risque de transformer les tribunaux en outils de censure.

🔮 Les mĂ©dias, quant Ă  eux, jouent un rĂŽle biaisĂ©. Des articles comme ceux de LibĂ©ration (« Zemmour accusĂ© de nĂ©gationnisme », 8 juin 2025) ou Le Monde (« PolĂ©mique autour des propos de Zemmour », 7 juin 2025) simplifient l’affaire, omettant le contexte gĂ©ographique et prĂ©sentant Zemmour comme un nĂ©gationniste absolu. Cette couverture, souvent hostile, contraste avec le silence de mĂ©dias conservateurs comme Valeurs Actuelles, qui Ă©vitent le sujet par prudence. Cette polarisation mĂ©diatique transforme un dĂ©bat historique en un spectacle moral, oĂč l’émotion prime sur les faits. Opinion Day¼ℱ refuse ce piĂšge. Nous ne dĂ©fendons pas Zemmour parce qu’il est infaillible. Nous le dĂ©fendons parce que la vĂ©ritĂ© ne se dĂ©crĂšte pas dans les rĂ©dactions ou les prĂ©toires.

🔮 Sur le plan mĂ©moriel, ce procĂšs interroge : qui peut parler du passĂ© ? Les associations affirment que Zemmour « fragilise la mĂ©moire collective ». Mais, comme l’écrivait Pierre Vidal-Naquet dans Les Assassins de la mĂ©moire (1987), le nĂ©gationnisme est une nĂ©gation malveillante et globale des faits. Zemmour, lui, ne nie pas les persĂ©cutions nazies ; il questionne un rĂ©cit spĂ©cifique, Ă©tayĂ© par des historiens comme Sibalis, qui notent l’absence de politique de dĂ©portation en France. Interdire ce questionnement, c’est risquer une police de la mĂ©moire, oĂč tout doute devient un dĂ©lit. Demain, un professeur, un Ă©crivain, un Ă©tudiant pourrait ĂȘtre poursuivi pour une phrase maladroite. Cette dĂ©rive menace la libertĂ© intellectuelle et le droit Ă  la recherche historique.

🔮 Politiquement, ce procĂšs est une aubaine pour les adversaires de Zemmour. En pleine recomposition de la droite française, avec un Rassemblement National en embuscade et une majoritĂ© macroniste affaiblie, discrĂ©diter Zemmour fragilise ReconquĂȘte !, qui a obtenu 7,1 % des voix en 2022 (2,5 millions d’électeurs). La gauche, dominante dans les mĂ©dias, y voit une opportunitĂ© de rĂ©affirmer son magistĂšre moral. La droite traditionnelle, paralysĂ©e, reste muette. Cette fracture reflĂšte une France oĂč le dĂ©bat public est Ă©touffĂ© par la peur du scandale. Opinion Day¼ℱ rejette cette lĂąchetĂ©. Nous dĂ©fendons Zemmour par principe : nul ne devrait ĂȘtre jugĂ© pour une opinion, mĂȘme provocatrice. Ce procĂšs s’inscrit dans une mĂ©canique bien rodĂ©e : une phrase polĂ©mique dĂ©clenche une plainte, les mĂ©dias amplifient, le parquet enquĂȘte, le procĂšs suit. On l’a vu avec DieudonnĂ©, Soral, ou Vanneste. Mais Zemmour n’est pas un marginal. C’est un acteur politique majeur, un intellectuel lu par des centaines de milliers de Français. Le rĂ©duire au silence, c’est museler une partie du pays.

đŸ”» Ce 10 juin, Ă  13h30, la justice française rendra un verdict. Mais le vrai jugement est entre vos mains. Zemmour assume ses mots. Il ne flĂ©chit pas. Il sait que la vĂ©ritĂ© n’a pas besoin de juges. Elle a besoin de courage. Ce procĂšs n’est pas celui d’un homme. C’est celui de la libertĂ© d’expression, du droit de douter, de la France qui refuse de baisser la tĂȘte. Opinion Day¼ℱ est Ă  ses cĂŽtĂ©s. Et vous, de quel cĂŽtĂ© ĂȘtes-vous ?

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📜 MENTION LÉGALE – LIBERTÉ D’EXPRESSION ET PROTECTION DE L’ƒUVRE

Cet article relĂšve de la libertĂ© d’expression et du droit au dĂ©bat historique garanti par l’article 10 de la Convention europĂ©enne des droits de l’homme :

« Toute personne a droit Ă  la libertĂ© d’expression. Ce droit comprend la libertĂ© d’opinion et la libertĂ© de recevoir ou de communiquer des informations ou des idĂ©es sans qu’il puisse y avoir ingĂ©rence d’autoritĂ©s publiques. »

ConformĂ©ment aux arrĂȘts Handyside c. Royaume-Uni (CEDH, 1976) et Perinçek c. Suisse (CEDH, 2015), la libertĂ© d’expression s’applique Ă©galement aux propos polĂ©miques, critiques ou minoritaires, dĂšs lors qu’ils ne contiennent ni incitation Ă  la haine ni nĂ©gation d’un crime reconnu par le Tribunal de Nuremberg.

Ce texte constitue une Ɠuvre de l’esprit protĂ©gĂ©e par les articles L111-1 et suivants du Code de la propriĂ©tĂ© intellectuelle.
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