đ§ « Brainwasher sur un fait divers » : la phrase qui a fait basculer lâopinion
UN PRĂSIDENT QUI NE RESSENT RIENâą
Sarah Knafo pulvĂ©rise Macron aprĂšs sa phrase sur les âfaits diversâ. PrĂšs de 1 000 mineurs assassinĂ©s sous son mandat. Un article choc, des chiffres accablants, une prĂ©sidence froide et dĂ©connectĂ©e.
đ„ UN PRĂSIDENT QUI NE RESSENT RIENâą â MACRON, FACE AUX PARENTS ENDEUILLĂS, FACE Ă LâHISTOIRE
đ§š Il y a des parents qui enterrent leur fils de 17 ans. Et un PrĂ©sident de la RĂ©publique qui appelle ça âbrainwasher sur un fait diversâ. đ„ Il y a des familles qui vivent lâirrĂ©parable. Et un chef de lâĂtat qui pense aux sondages. đŁ Il y a des cercueils blancs qui descendent dans le sol. Et des mots sales qui montent aux tribunes. đ«đ· Câest Sarah Knafo qui a lancĂ© lâoffensive. Une phrase. Un silence explosĂ©. Un choc viral. Et le rappel brutal dâun quinquennat oĂč la France aura enterrĂ© ses enfants⊠pendant que Macron, lui, les oubliait.
đ„ ARTICLE OPINION DAYÂź â VERSION INTĂGRALE
 BRIGITTE,  FOUTS-LUI UNE BAFFE. Pas Ă la sortie de lâavion. Pas en coulisses. Pas sur le perron de lâĂlysĂ©e. Mais devant les Invalides, au milieu des cercueils. Une gifle prĂ©sidentielle. Une claque pour lâHistoire. Parce quâil faut ĂȘtre profondĂ©ment dĂ©shumanisĂ© pour dire ce quâil a dit. Parce quâil faut ĂȘtre dĂ©rangĂ© ou cynique pour traiter les morts comme un âfait diversâ. Parce quâil faut ĂȘtre Emmanuel Macron pour parler de âbrainwashingâ Ă propos dâun pays qui pleure ses enfants. Et parce quâil faut une droite, une vraie, pour oser lâĂ©crire.
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LA PHRASE DE LA HONTE : UN âBRAINWASHINGâ DâĂTAT
Câest une phrase glissĂ©e dans un discours. Une petite phrase, diront certains. Mais il y a des petites phrases qui tuent. Qui giflent. Qui ravivent la douleur. đ§ âCertains prĂ©fĂšrent, pendant ce temps-lĂ , brainwasher (lavage de cerveau) sur lâinvasion du pays et les derniers faits divers.â  Emmanuel Macron, mai 2025
âĄïž En langage prĂ©sidentiel, cela veut dire : si vous parlez des enfants assassinĂ©s, vous ĂȘtes manipulĂ©s. âĄïž Si vous pleurez un Thomas, un Matisse, une Lola, câest que vous avez subi un lavage de cerveau. âĄïž Si vous vous demandez pourquoi tant dâagresseurs sont en libertĂ© malgrĂ© des OQTF, vous ĂȘtes des extrĂ©mistes Ă recadrer.
đ©žSarah Knafo a pris cette phrase et lâa retournĂ©e contre lui. En pleine nuit, sur X. Et soudain, le mensonge a craquĂ©.
âIl y a des parents qui enterrent leur fils de 17 ans. Et un PrĂ©sident qui appelle ça âbrainwasher sur un fait diversâ. Quâil ose leur dire en face.â  Sarah Knafo, 7 juin 2025
đ„ Plus de 80 000 vues en quelques heures. Et un visuel choc : 40 visages, 40 enfants, 40 drames. Avec, en bas, Macron. Froid. Lisse. Vide. Le cerveau nettoyĂ© de toute empathie.
7 986 HOMICIDES SOUS MACRON â DONT PRĂS DE 1 000 MINEURS
DerriĂšre les phrases, les chiffres. DerriĂšre les chiffres, les cercueils.
đȘ Depuis 2017 : âą 2017 : 879 homicides âą 2018 : 875 âą 2019 : 880 âą 2020 : 816 âą 2021 : 881 âą 2022 : 959 âą 2023 : 1 010 âą 2024 : 1 186 âą 2025 (mi-annĂ©e) : 500 (projection)
đ Total : 7 986 homicides enregistrĂ©s sous Macron đ Parmi eux : 998 mineurs (estimation Ă 12,5 %) đŁ Câest-Ă -dire 998 enfants assassinĂ©s sous un prĂ©sident qui parle de âfait diversâ. Et pendant ce temps-lĂ , Macron parle de âpĂ©ril dĂ©mocratiqueâ⊠en pointant du doigt ceux qui osent compter les morts.
DES PRĂNOMS. DES VISAGES. DES PARENTS EN LARMES.
MaĂ«lys de Araujo â 8 ans â enlevĂ©e et tuĂ©e par un ex-militaire â Silence de lâĂlysĂ©e.
Lola Daviet â 12 ans â violĂ©e, torturĂ©e, Ă©tranglĂ©e par une AlgĂ©rienne sous OQTF â Un tweet de condolĂ©ance. Aucune visite. Et un procĂšs repoussĂ© Ă octobre 2025.
Marion Rousset â 14 ans â noyĂ©e dans un canal par un jeune multirĂ©cidiviste â Aucune prise de parole prĂ©sidentielle.
Thomas â 16 ans â poignardĂ© en pleine rue Ă CrĂ©pol â Macron prĂ©fĂšre parler dââinstrumentalisationâ.
đž Tous ces enfants, et dâautres, sont sur le visuel postĂ© par Knafo. Et chacun de leurs regards est une accusation.
MACRON ET LA DĂCONNEXION TOTALE
Quand un peuple pleure, un chef dâĂtat console. Mais Macron, lui, gouverne depuis Excel. đ» Pour lui, un assassinat est une cellule dans un tableau. Un viol est un taux de victimation. Un enfant mort est un âfait diversâ. đȘ Il y a chez cet homme un refus de la compassion. Un rejet du tragique. Un culte de la rationalitĂ© hors-sol. MĂȘme François Hollande mettait un genou Ă terre aprĂšs les attentats. MĂȘme Sarkozy appelait les parents. MĂȘme Chirac allait aux enterrements. Macron, lui, passe.
LA RĂVOLTE DE SARAH KNAFO : STYLE, FOND, GUERRE
Sarah Knafo ne tweete pas pour réagir. Elle attaque. Elle frappe. Elle impose une mémoire. Et elle politise la douleur.
Son tweet nâest pas une rĂ©action Ă©motionnelle. Câest une dĂ©claration de guerre symbolique. Contre Macron. Contre lâamnĂ©sie. Contre le mĂ©pris technocratique.
đ Câest elle qui pose les vrais mots : enfants, parents, enterrement, prĂ©sident. đ Câest elle qui ose parler frontalement du lien entre immigration, laxisme et drames. đ Câest elle qui dit ce que des millions pensent mais que personne ne dit Ă haute voix.
MACRON FACE Ă LA VĂRITĂ : UN ĂCHEC SĂCURITAIRE
Sous Macron, les violences explosent : đ Violences physiques (2023) : 444 700 victimes đ Violences sexuelles (2023) : 114 100 victimes, dont 57 % de mineurs đ Atteintes aux biens : +7 % đ Taux de plainte : ridiculement bas (2 Ă 6 %) đ OQTF non exĂ©cutĂ©es : 93 % en 2024
â Aucune rĂ©forme judiciaire efficace â Aucune accĂ©lĂ©ration du traitement des affaires de viol â Aucun plan dâurgence pour la sĂ©curitĂ© des mineurs
Mais des discours. Encore des discours. Toujours des discours.
âBRAINWASHER SUR UN FAIT DIVERSâ â LE MOT DE TROP
Dans lâHistoire, il y a des phrases qui ne pardonnent pas : âą âJe vous ai comprisâ (De Gaulle) âą âIls nâont rien compris Ă la start-up nationâ (Macron) âą âBrainwasher sur un fait diversâ (Macron encore)
đ§š Cette derniĂšre phrase sera son cercueil politique. Elle rĂ©sume tout : âą mĂ©pris des morts âą refus dâassumer âą inversion des responsabilitĂ©s âą obsession Ă diaboliser ses opposants, mĂȘme sur des cadavres
đŻ Ce nâest plus une maladresse. Câest une faute morale.
LE SILENCE DE BRIGITTE
Et elle, Brigitte ? Elle qui prĂ©tend sâinvestir pour les enfants ? Elle qui a fondĂ© une fondation ? Elle qui aime les plateaux de tĂ©lĂ© et les causes âapolitiquesâ ?
Rien. Pas un mot. Et pourtant, elle sait. Elle vit avec lui. Elle lâĂ©coute. Elle entend ce quâil dit. Et elle se tait.
đ„ Alors oui, Brigitte, il fallait lui foutre une vraie baffe. Pas une tape douce. Pas une moue dĂ©solĂ©e. Une vraie baffe. Pour la mĂ©moire des enfants morts. Pour les mĂšres qui pleurent. Pour les citoyens qui saignent.
LA DĂCHIRURE FRANĂAISE
Il y a aujourdâhui deux France : âą Celle qui pleure ses enfants assassinĂ©s. âą Et celle qui veut faire croire que câest âanecdotiqueâ.
La premiÚre est réelle. La seconde est présidentielle.
đ En niant la souffrance, Macron ne la dissipe pas : il la radicalise. đ En insultant les endeuillĂ©s, il ne les apaise pas : il les politise. Et le rĂ©veil sera brutal.
CE PRĂSIDENT QUI NE RESSENT RIEN
đ Ce nâest pas de la maladresse. Câest du cynisme. đ Ce nâest pas un dĂ©rapage. Câest un programme.
âĄïž Macron a Ă©tĂ© Ă©lu pour rĂ©former. Il aura rĂ©formĂ© la relation entre lâĂtat et les victimes : froide, distante, insensible. âĄïž Il aura Ă©tĂ© le prĂ©sident des investisseurs, des stats, des think tanks. âĄïž Mais jamais celui des mĂšres en larmes. Jamais celui des pĂšres Ă genoux. Jamais celui des enfants quâon enterre trop tĂŽt.
Sarah Knafo a levĂ© le voile. Et dĂ©sormais, la question est simple : Combien dâenfants faudra-t-il encore enterrer avant que ce prĂ©sident daigne sâexcuser ?
đ Il nâa pas de cĆur. đ Il nâa plus de peuple. đŹ Il nâa que des excuses⊠pour ne pas en avoir.
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