Le média qui révèle ce que les banques aimeraient vous faire taire.
SARAH KNAFO TIRE LA SONNETTE D’ALARME : LA CENSURE BANCAIRE EST LÀ.
Quand les banques ferment les comptes des médias dissidents, c’est la démocratie qui vacille. Opinion Day vous livre l’analyse complète d’un système de censure douce devenu invisible, implacable… et légalisé.
🟥 SARAH KNAFO DÉNONCE LA CENSURE BANCAIRE : NOUVEL OUTIL DU POUVOIR CONTRE LES DISSIDENTS 📛
“La censure bancaire s’installe”, alerte Sarah Knafo dans un post sec, frontal, sans détours. Pour l’eurodéputée Reconquête!, la fermeture arbitraire de comptes – qu’il s’agisse de médias comme TVL ou d’activités indépendantes comme le Bitcoin – relève d’une discrimination politique organisée. Après les plateformes, les banques. Après les algorithmes, les guichets. La répression douce se fait numérique, opaque, implacable:
💣 TV Libertés en est la dernière victime : déréférencée, censurée sur YouTube, désormais privée d’accès bancaire. Une double peine pour le crime d’avoir déplu. “Il faut lutter contre ces clôtures abusives”, insiste Knafo, appelant à forcer les banques à rendre des comptes. Une ligne rouge a été franchie. Et personne ne viendra pleurer quand ce seront vos économies, vos idées ou vos mots qui passeront à la trappe. 💸 Ce n’est pas une anecdote. Ce n’est pas une erreur. Ce n’est pas un bug. C’est une stratégie. L’outil bancaire, jadis neutre, devient une arme d’exclusion civique. Si vous pensez mal, vous payez mal. Si vous dérangez, vous êtes effacé. Plus de compte, plus de financement, plus de droit d’exister. La monnaie numérique, les systèmes de scoring, les restrictions d’accès pilotées par des algorithmes ou des officines idéologiques : tout concourt à la fabrication d’un monde où l’argent ne sert plus à acheter… mais à obéir. 📉 TVL dérange ? Qu’on l’efface. Une association gêne ? Qu’on la bloque. Un parti pense différemment ? Qu’on l’asphyxie. Tout cela n’a rien d’une dérive : c’est un système. Et Sarah Knafo a le mérite d’y mettre des mots. Des mots simples. Des mots forts. Des mots qui posent la question que tout citoyen devrait se poser : à qui appartiennent nos comptes ?
🚫 La censure bancaire ne se voit pas. Elle ne laisse pas de fumée. Pas de CRS. Pas de lacrymo. Seulement une lettre recommandée. Un mail expéditif. Une interface vide : “accès refusé”. Le compte est fermé. L’activité est stoppée. Les dons s’évaporent. L’entreprise meurt sans bruit. Et quand bien même elle proteste, il est trop tard. Car il n’y a pas de droit à la liberté bancaire. Il n’y a que des “conditions générales”, rédigées par les banques, pour les banques💼 Or c’est là le cœur du scandale : des entités privées – les banques – exercent désormais un pouvoir de vie ou de mort civique, sans aucun contre-pouvoir. Aucun juge. Aucun recours réel. Aucune transparence. Une clôture abusive n’est pas un délit. C’est juste un choix commercial. Voilà pourquoi Sarah Knafo parle d’abus. Et elle a raison. Parce que derrière les mots techniques, il y a une réalité : celle d’un pouvoir sans visage, mais qui décide qui a le droit d’exister dans la société numérique.
⚠️ Ce n’est pas une première. Rappelez-vous : en 2022, Paypal ferme le compte de l’association Génération Identitaire. En 2023, Revolut clôture sans explication des comptes liés à des figures conservatrices anglaises. En 2024, Stripe bloque des sites “trop radicaux”. Et maintenant ? En 2025, on s’en prend à TVL. Et demain ? Vous croyez que vous serez épargnés parce que vous êtes “modérés” ? Vous êtes naïfs. Le jour où vous direz non, vous comprendrez.
🔒 Ce qui est en jeu ici, ce n’est pas TVL. Ce n’est pas même Reconquête. C’est le droit de ne pas plaire. Le droit de déranger. Le droit de résister sans se faire ruiner. Dans une démocratie digne de ce nom, on combat les idées par les idées. Pas par le blocage bancaire. Pas par l’étranglement logistique. Pas par la terreur soft des “partenaires financiers”. Et si demain vous deviez présenter un certificat de bonne conduite idéologique pour avoir une carte bancaire, que ferez-vous ? Vous tiendrez la ligne, ou vous rentrerez dans le rang ?
🧮 En réalité, c’est la logique même du Crédit Social qui se met en place. À la chinoise. On ne vous dit pas que vous êtes interdit. On vous fait comprendre que vous êtes indésirable. On ne vous emprisonne pas : on vous empêche de payer. On ne vous censure pas : on vous débranche. C’est propre. C’est efficace. C’est démocratique en apparence. Mais c’est une dictature par les moyens de paiement. 🇫🇷 En France, cela devrait être impensable. Mais c’est devenu banal. L’État regarde ailleurs. Les banques agissent. Les médias se taisent. Seule une minorité, lucide et courageuse, ose sonner l’alerte. Sarah Knafo en fait partie. Elle dénonce, propose, nomme les choses. Ce qu’elle dit est limpide : les banques doivent rendre des comptes. Si elles ferment arbitrairement, elles doivent s’en expliquer. Si elles punissent des opinions, elles doivent être sanctionnées. Car une démocratie sans neutralité bancaire, c’est une dictature qui s’ignore. 📢 Il est temps de parler. De refuser. De nommer. De soutenir ceux qui subissent ce chantage. Car la fermeture d’un compte n’est pas une affaire privée. C’est un message. Un avertissement. Un test. Et si la société reste silencieuse, le système prendra ce silence pour un feu vert. L’exemple de TVL doit faire jurisprudence. Pas dans les tribunaux : dans les esprits.
🛡️ La liberté, ce n’est pas un discours. C’est une infrastructure. Sans accès au réseau bancaire, sans droit au financement, sans indépendance économique, aucune liberté n’existe. Voilà pourquoi le combat mené par Sarah Knafo est si crucial. Ce n’est pas un combat de droite. Ce n’est pas un combat de riches. C’est un combat de survie pour quiconque croit encore au droit de vivre, de créer, de débattre, sans demander la permission à sa banque. 🔁 Aujourd’hui, TVL. Demain, peut-être vous. La censure bancaire n’a pas de drapeau. Elle n’a pas de visage. Mais elle a une cible : ceux qui dérangent, ceux qui pensent, ceux qui refusent l’unanimisme. Alors battez-vous. Soutenez les plateformes libres. Diversifiez vos modes de paiement. Dénoncez les clôtures abusives. Et surtout, ne vous taisez pas. Car le silence est la monnaie des régimes qui ferment les comptes à défaut de pouvoir fermer les bouches. 💥 Le message de Sarah Knafo n’est pas un cri dans le vide. C’est un acte politique. Une déclaration de guerre douce contre la dictature des banques. À nous de répondre, avant qu’il ne soit trop tard.
📎 Pour soutenir Opinion Day® face à la censure numérique :
💶 Faire un don par PayPal → https://www.paypal.com/ncp/payment/Q8Z3JZGXR79R8
☕ Offrir un café sur Ko-fi → https://ko-fi.com/opinionday