🟥 DRAPEAU PALESTINIEN INTERDIT À CHALON :
LE FOOT, LES ÉMEUTES ET LA GUERRE DES SIGNAUX
🇫🇷 Par Opinion Day®, 1er juin 2025
🎭 La victoire du PSG n’était pas encore digérée que déjà les vitrines volaient en éclats.
Des rassemblements festifs ? Non. Des guérillas urbaines. Avec un code couleur bien précis : drapeaux palestiniens, slogans communautaires, et caillassages anti-flics.C’est dans ce décor que Gilles Platret, maire de Chalon-sur-Saône, a décidé de briser le totem.
🎌 Le drapeau palestinien est interdit sur sa commune.
Oui, interdit. Pas “réglementé”, pas “encadré” : interdit.
“Un signe de ralliement des émeutiers”, déclare-t-il, sans trembler.
“Des événements d’une extrême gravité ont eu lieu hier soir dans notre ville.”
📛 LA PALESTINE, DÉLIT DE FAÇADE ?
Certains hurleront à l’outrage. Ils invoqueront la liberté d’expression, le droit à la solidarité, le “conflit international”.
Mais soyons clairs : à Chalon-sur-Saône, le drapeau palestinien n’a pas été brandi en soutien aux civils de Gaza. Il a été exhibé comme totem de violence, affiché sur les scooters volés et arboré dans les pillages comme un étendard de revanche.
Ce n’est plus un symbole de cause étrangère.
C’est devenu, dans les faits, un code de territoire.
Un marqueur identitaire, politique, idéologique.
Et parfois, il faut oser nommer les choses.🏴☠️
UN DRAPEAU, DES ÉMEUTES, UN MENSONGE
À Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Lille ou Roubaix… même scène.
Les débordements ont explosé non pas à cause de la liesse populaire mais à cause de la haine anti-française contenue dans certaines “victoires” ethniques.
Car pour une partie de la jeunesse urbaine, le PSG ne représente plus la France, mais “les leurs”. Et cette victoire est vécue comme une revanche contre un pays qu’ils détestent.
Alors on sort le keffieh, on crie “Palestine”, et on jette des pavés.
📸 Les vidéos sont claires : aucun drapeau français, des dizaines de drapeaux palestiniens, et partout les mêmes cris, les mêmes gestes, les mêmes cibles.🧱 PLATRET, LE MAIRE QUI DÉMARQUE
Ancien LR, proche de Reconquête! sans y avoir (encore) basculé, Gilles Platret est un habitué des coups de théâtre sécuritaires. Mais cette fois, il tape dans le dur.
Interdire un drapeau étranger sur l’espace public, c’est poser une question que la République refuse d’affronter depuis 30 ans :“Quand un drapeau étranger devient-il un acte politique hostile ?”
En vérité, la mesure de Platret est juridiquement fragile, mais symboliquement puissante. Elle oblige chacun à choisir :
– accepter que le drapeau palestinien serve de paravent aux violences,
– ou admettre qu’il est désormais instrumentalisé contre la France.
🧨 FOOT, FUSÉES ET FAUX PRÉTEXTES
On se souvient de la finale de l’Algérie à la CAN.
On se souvient des “fêtes” du 14 juillet à Sevran.
On se souvient des émeutes après la mort de Nahel.
À chaque fois, les mêmes drapeaux. Les mêmes cibles. Les mêmes refus d’assimilation.
Et chaque fois, la gauche médiatique sort son dictionnaire de déni :
“c’est une minorité”,
“ce sont des jeunes”,
“c’est la faute de la police”,
“ce n’est pas la Palestine, c’est juste de la colère sociale”.Non. Ce sont des frappes symboliques contre la France.
Et le drapeau n’est pas un détail : c’est le code visuel de cette fracture.
🇫🇷 LA LIGNE ZEMMOUR : INTERDITS OU RÉCUPÉRATION ?
Chez Reconquête!, certains saluent déjà cette mesure de Platret, regrettant qu’elle ne soit pas nationale. Zemmour l’a dit mille fois : nous ne sommes pas en guerre avec la Palestine, mais avec ceux qui utilisent son drapeau comme prétexte à la guerre intérieure.
Le drapeau palestinien sur le sol français est désormais un signal politique, et parfois un appel à la sédition.
📌 À RETENIR
Gilles Platret interdit le drapeau palestinien à Chalon-sur-Saône après les émeutes liées à la victoire du PSG.
Le symbole n’est plus perçu comme humanitaire, mais comme tribal et conflictuel.
Cette décision marque une rupture : on ne tolère plus tout au nom du “droit à la colère”.
🎯 Conclusion Opinion Day®
Ce n’est pas la Palestine qui est visée.
C’est l’usage politique du drapeau comme arme d’appartenance.
Et si le drapeau français est conspué pendant qu’on brûle les bus au nom de Gaza…
alors oui : il faut choisir.
Platret l’a fait.
Combien suivront ?
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