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Sarah Knafo, IA, Impôts : Ce qu’ils vous interdisent de comprendre
Opinion Day®™ décrypte les technologies, démasque les narratifs, et révèle les angles que les médias subventionnés enterrent. Découvrez la face cachée de la fiscalité numérique, avec Knafo dans le game.
🟠 DÉCLARATION DE REVENUS : ILS VOUS INTERDISENT DE COMPRENDRE – MAIS KNAFO, ELLE, A COMPRIS
Chaque année, des millions de Français se retrouvent face à un rituel aussi redouté qu’incompréhensible : la déclaration de revenus. Devant leurs écrans, ils scrutent des formulaires abscons, jonglent avec des termes techniques et craignent l’erreur fatale qui pourrait déclencher un contrôle fiscal. Pendant ce temps, Bercy, avec son assurance professorale, martèle que « l’intelligence artificielle (IA) ne remplacera jamais un expert-comptable ». Mais derrière ce discours se cache une réalité bien plus troublante : l’administration ne veut pas simplifier votre vie. Elle veut vous garder prisonniers de sa complexité.
Et si l’IA, loin d’être un danger, était une clé pour vous libérer ? C’est ce que Sarah Knafo, eurodéputée de Reconquête!, semble avoir compris. Dans un rapport percutant sur la souveraineté numérique, elle ne se contente pas de pointer du doigt les dérives de la technostructure. Elle propose une vision : celle d’une IA souveraine, au service des citoyens, capable de défier la machine bureaucratique.
🔒 Une administration qui prospère sur la complexité
La déclaration de revenus est un casse-tête savamment orchestré. Entre les cases cryptiques, les abattements mal expliqués et les délais serrés, le contribuable moyen est vite dépassé. L’administration fiscale, elle, s’en frotte les mains. Plus le système est opaque, plus elle conserve son pouvoir. Les outils numériques mis à disposition par Bercy, comme le site impots.gouv.fr, sont loin d’être des modèles de simplicité. Ils exigent du temps, de la patience et une certaine expertise pour éviter les pièges.
Et si vous osez demander de l’aide à un outil d’IA comme ChatGPT, Claude ou Mistral, on vous met en garde : ces technologies seraient « trop imprécises », « trop risquées », voire « trop autonomes ». Mais est-ce vraiment le problème ? Ou est-ce que l’IA, en rendant la fiscalité plus accessible, menace un système qui repose sur votre dépendance ?
📲 L’IA, un outil d’émancipation citoyenne
Sarah Knafo entre en scène. Loin de se limiter à une critique stérile, l’eurodéputée de Reconquête! propose une réflexion audacieuse : et si l’IA, bien encadrée, devenait un outil d’émancipation pour les citoyens ? Dans son rapport sur la souveraineté numérique, elle parle de pouvoir, de contrôle, et d’indépendance. Pour Knafo, l’IA n’est pas une menace, mais une opportunité stratégique. Elle pourrait permettre aux Français de comprendre leurs obligations fiscales, d’optimiser leurs déclarations, et de se défendre face à une administration qui prospère sur leur ignorance.
Imaginez : une application d’IA souveraine, qui guide les contribuables pas à pas dans leur déclaration. Un outil qui traduit le jargon fiscal, détecte les erreurs courantes, et propose des optimisations légales. Ce n’est pas de la science-fiction. Des modèles comme ChatGPT ou Mistral pourraient être adaptés pour cela. Mais il faut une volonté politique. Et c’est là que Knafo se distingue.
🚨 Pourquoi l’IA fait peur à l’ordre établi
Si l’IA est redoutée, ce n’est pas pour ses imprécisions. C’est parce qu’elle menace un équilibre de pouvoir. Une IA bien conçue pourrait démystifier la fiscalité, réduire la dépendance aux experts, et fragiliser le monopole de l’administration sur l’information. Elle pourrait donner aux citoyens les moyens de contester, de questionner, et de se défendre.
Ce n’est pas un hasard si les critiques contre l’IA viennent de ceux qui prospèrent dans l’opacité. L’article de Jean-Victor Semeraro est un parfait exemple : sous couvert d’objectivité, il infantilise le contribuable, l’incite à ne pas utiliser l’IA, et le renvoie à sa dépendance aux “experts”. L’IA n’est pas un danger pour le fisc. Elle est un danger pour l’ordre établi.
🔥 Sarah Knafo, une visionnaire en avance
Sarah Knafo l’a compris. À Bruxelles, elle ne se contente pas de siéger. Elle agit. Son rapport sur la souveraineté numérique est une bombe à retardement pour ceux qui veulent garder l’IA sous contrôle. Elle y défend une Europe technologique forte, capable de rivaliser avec les géants américains et chinois. Mais surtout, elle y place le citoyen au cœur de la révolution numérique.
Elle relie les points : la censure bancaire, les IA privées, l’opacité algorithmique. Pour Knafo, la technologie doit servir les peuples, pas les soumettre. Une IA souveraine, enracinée, conçue pour libérer plutôt que pour surveiller. C’est cette idée qui dérange.
🏁 Conclusion : l’IA, une arme pour reconquérir sa liberté
La déclaration de revenus n’est qu’un symptôme. Le mal est plus profond : un système qui prospère sur la dépendance et la peur de l’erreur. L’IA peut renverser cette logique. Pas une IA livrée à Google ou Amazon, mais une IA française, européenne, souveraine. Et Sarah Knafo trace déjà le chemin. À nous de jouer le prochain coup.