« Ils brûlent des drapeaux. Elle rallume la France. »

« SARAH KNAFO FRAPPE LA FRANCE DU PACIFIQUE »

Nouméa, nickel, loyauté : une enquête inédite sur la guerre oubliée du Pacifique. Opinion Day® révèle pourquoi Sarah Knafo a dit non à la soumission et oui à la France.
Photo publiée sur X par Sarah Knafo : avec Sonia Backès et Brieuc Frogier devant le Sénat, en soutien aux Calédoniens fidèles à la France

 

🇫🇷 SARAH KNAFO FRAPPE LA FRANCE DU PACIFIQUE : LA NOUVELLE-CALÉDONIE NE SERA PAS LA GUYANE DE DEMAIN

 


🟥 5 juin 2025. 08h47. Sarah Knafo ne fait pas un post. Elle tire à balles réelles sur la mollesse républicaine. Treize mots. Une image. Un pacte. Dans un tweet sec, elle ose une phrase qu’aucun ministre n’a eu le courage de prononcer depuis 20 ans : « Les Calédoniens qui aiment la France ont besoin de notre soutien. » Elle ne parle pas de dialogue. Elle ne parle pas de “réconciliation post-coloniale”. Elle parle de fidélité. Et dans la France actuelle, défendre les fidèles, c’est une rupture doctrinale.

📸 La photo : Sarah Knafo, debout, droite, flanquée de Sonia Backès et Brieuc Frogier. Deux figures du camp loyaliste. Deux survivants politiques. Deux symboles, surtout, d’un territoire abandonné par Paris, livré aux menaces indépendantistes, sacrifié sur l’autel de la repentance. Elle ne sourit pas trop. Elle pose. Elle s’affirme. Elle trace un trait. Elle rappelle que Nouméa n’est pas une case à cocher dans un rapport du Quai d’Orsay. C’est la France. Et on ne décolonise pas la France.

🔥 Depuis des mois, la Nouvelle-Calédonie est en feu doux. Les indépendantistes crient au colonialisme, boycottent les urnes, attaquent les commissariats, menacent la réforme du corps électoral. Pendant ce temps, les loyalistes manifestent pacifiquement, interpellent l’État, écrivent des tribunes. Silence radio à Paris. Ni Emmanuel Macron ni Gabriel Attal ne jugent bon d’apparaître. Manuel Valls est envoyé en éclaireur pour “reprendre langue”. La langue du renoncement, comme d’habitude.

📜 Rappel : entre 2018 et 2021, trois référendums ont été organisés. Trois fois, les Calédoniens ont rejeté l’indépendance. À chaque fois, les résultats ont été contestés, réinterprétés, relativisés. Le dernier – en 2021 – a vu une victoire massive du NON, mais boycotté par les partisans du OUI. L’État a refusé de considérer ce vote comme décisif. Pourquoi ? Parce que le vote majoritaire dérangeait l’équilibre mental de la caste. Parce qu’on préfère une Nouvelle-Calédonie instable qu’une Nouvelle-Calédonie française assumée.

🎙 Et là surgit Sarah Knafo. Députée européenne, héritière politique de la ligne Zemmour, stratège et oratrice, elle sort de l’ombre avec une clarté chirurgicale. Elle dit : non, il n’y aura pas de quatrième référendum. Non, on ne mettra pas la République en suspens tous les dix ans pour ménager ceux qui la rejettent. Non, on ne traitera pas à égalité ceux qui brûlent des bâtiments publics et ceux qui défendent l’unité nationale. Cette posture, elle est révolutionnaire. Pas parce qu’elle propose la guerre. Mais parce qu’elle refuse la soumission.

👥 Sonia Backès, elle, n’en est plus à faire semblant. Présidente de la Province Sud, elle porte sur ses épaules les trois quarts de l’économie locale. Cible privilégiée de l’extrême gauche locale, elle a vu ses locaux attaqués, ses enfants menacés, son autorité remise en cause. Paris l’a lâchée, comme il lâche tous les fidèles. Brieuc Frogier, lui, appartient à la dynastie politique qui a longtemps tenu la barre. Il sait que le ver est dans le fruit. Il sait que la trahison est venue de l’intérieur, de cette technocratie qui rêve de transformer la République en ONG.

📉 Le mutisme de Marine Le Pen est assourdissant. Lors de sa visite sur place, elle évoque un quatrième référendum dans 40 ans. Une manière élégante de ne rien dire. Bardella, lui, joue la montre. Il veut se montrer “responsable”. Traduction : ne rien décider, surtout sur un sujet aussi inflammable. Reconquête, avec Knafo, rompt avec cette logique. Ce n’est pas de l’électoralisme. C’est une refondation. Une doctrine de la souveraineté sans virgule. Un principe de clarté : la France est indivisible, point final.

🌍 Et l’enjeu est immense. La Nouvelle-Calédonie n’est pas un caillou sentimental. Elle détient 25 % des réserves mondiales de nickel, un métal stratégique pour les batteries, l’aéronautique, les armements. Elle est positionnée au cœur du Pacifique Sud, dans une zone où la Chine avance ses pions, où l’Australie réarme, où les États-Unis multiplient les bases. Si la France recule là, elle recule partout. Si elle perd le contrôle de la Nouvelle-Calédonie, elle perd un morceau de sa souveraineté planétaire.

💬 Dans les sphères parisiennes, on traite le sujet comme un fardeau. On évoque la “dignité des peuples autochtones”, la “réparation historique”, les “dialogues apaisés”. Mais on oublie les faits. Les Kanaks sont une composante du peuple calédonien, pas son tout. Ils représentent 40 % de la population. L’autre moitié, métissée, venue d’Asie, d’Europe, d’Océanie, n’a aucune envie d’indépendance. Elle veut vivre en paix, travailler, étudier, parler français. Mais ça, ça n’intéresse pas les idéologues.

⚖️ L’ONU, complice, considère toujours la Nouvelle-Calédonie comme un “territoire à décoloniser”. Une absurdité. Un mensonge. Une honte. Aucun autre territoire français ne subit cette infamie. Ni la Guyane, ni la Réunion, ni Mayotte. Mais là-bas, les diplomates européens rêvent de céder pour gagner un sourire dans un sommet pacifique. Knafo, elle, dit non. Elle refuse la logique onusienne. Elle remet en cause la carte mentale de ceux qui veulent transformer chaque territoire d’Outre-mer en laboratoire identitaire.

🧭 Le post du 5 juin n’est pas un événement isolé. Il s’inscrit dans une stratégie globale. Sarah Knafo, en phase avec la doctrine Reconquête, prépare un changement de cap. Un retour au gaullisme réel : la République une et indivisible, la souveraineté comme boussole, le territoire comme ancrage. Elle ne fait pas campagne. Elle fait du sens. Elle redonne une colonne vertébrale à un pays qui tremble dès qu’un drapeau est arraché.

🎯 Le clivage n’est plus droite contre gauche. Il est entre ceux qui croient à la France comme projet, et ceux qui la gèrent comme une franchise. Entre ceux qui disent aux Calédoniens fidèles : « On vous voit », et ceux qui les laissent seuls face à la haine. Entre Sarah Knafo et Manuel Valls. Entre Sonia Backès et Jean-Luc Mélenchon. Entre Brieuc Frogier et tous les renoncements.

📌 Le 5 juin 2025, un tournant a eu lieu. Invisible pour ceux qui ne savent plus lire entre les lignes. Mais explosif pour ceux qui savent encore décrypter les signaux faibles. La Nouvelle-Calédonie ne sera pas la Guyane de demain. Elle ne sera pas cédée à des réseaux ethno-nationalistes. Elle ne sera pas une variable d’ajustement diplomatique. Et tant qu’il y aura une droite souveraine, fière, enracinée, représentée par des figures comme Knafo, elle ne sera pas trahie sans combat.

📎 Ce tweet n’était pas un tweet. C’était un acte fondateur. Il disait ceci : « Nous n’avons pas honte d’être français. Et nous n’avons pas honte de défendre ceux qui le sont, même s’ils vivent à 17 000 kilomètres de Paris. » La vraie fracture, elle est là. Et elle est irréversible.

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